Votre prochain véhicule sera électrique. Que ce soit une voiture, un camion ou une moto, la propulsion électrique s'impose comme la technologie de demain.

Conduire

Conduire

Énergie solaire
Un véhicule électrique désigne tout moyen de transport terrestre, maritime ou aérien équipé d'un moteur électrique et pouvant être relié au réseau électrique.

Voiture électrique

01

Comprendre la voiture électrique

Les voitures électriques désignent les voitures de tourisme partiellement ou totalement électriques (avec ou sans prise de charge). Une voiture électrique est propulsée par de l'énergie électrique, incluant également les variantes hybrides. Cependant, le terme « voiture électrique » est de plus en plus souvent utilisé pour désigner exclusivement les véhicules entièrement électriques à batterie (BEV).

La conception d'une voiture électrique est relativement simple. Comparée à un véhicule à moteur thermique, elle nécessite environ 10 fois moins de composants. C'est également pour cette raison que les coûts d'entretien et de maintenance d'une voiture électrique sont nettement inférieurs.

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Comprendre la voiture électrique

Les voitures électriques désignent les voitures de tourisme partiellement ou totalement électriques (avec ou sans prise de charge). Une voiture électrique est propulsée par de l'énergie électrique, incluant également les variantes hybrides. Cependant, le terme « voiture électrique » est de plus en plus souvent utilisé pour désigner exclusivement les véhicules entièrement électriques à batterie (BEV).

La conception d'une voiture électrique est relativement simple. Comparée à un véhicule à moteur thermique, elle nécessite environ 10 fois moins de composants. C'est également pour cette raison que les coûts d'entretien et de maintenance d'une voiture électrique sont nettement inférieurs.

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Comprendre la voiture électrique

Les voitures électriques désignent les voitures de tourisme partiellement ou totalement électriques (avec ou sans prise de charge). Une voiture électrique est propulsée par de l'énergie électrique, incluant également les variantes hybrides. Cependant, le terme « voiture électrique » est de plus en plus souvent utilisé pour désigner exclusivement les véhicules entièrement électriques à batterie (BEV).

La conception d'une voiture électrique est relativement simple. Comparée à un véhicule à moteur thermique, elle nécessite environ 10 fois moins de composants. C'est également pour cette raison que les coûts d'entretien et de maintenance d'une voiture électrique sont nettement inférieurs.

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Comprendre la voiture électrique

Les voitures électriques désignent les voitures de tourisme partiellement ou totalement électriques (avec ou sans prise de charge). Une voiture électrique est propulsée par de l'énergie électrique, incluant également les variantes hybrides. Cependant, le terme « voiture électrique » est de plus en plus souvent utilisé pour désigner exclusivement les véhicules entièrement électriques à batterie (BEV).

La conception d'une voiture électrique est relativement simple. Comparée à un véhicule à moteur thermique, elle nécessite environ 10 fois moins de composants. C'est également pour cette raison que les coûts d'entretien et de maintenance d'une voiture électrique sont nettement inférieurs.

02

Acheter une voiture électrique

L'achat d'une voiture électrique est une décision palpitante qui présente de nombreux avantages, tant sur le plan écologique qu'économique. Les voitures électriques sont non seulement plus respectueuses de l'environnement, mais aussi plus rentables que les véhicules traditionnels à moteur à combustion. Cependant, avant d'acheter un véhicule électrique, il y a quelques aspects importants à prendre en compte pour s'assurer que le véhicule répond à vos besoins et à vos attentes.

  1. Quelles exigences avez-vous pour une voiture ?

Réfléchis aux fonctionnalités qui te tiennent à cœur. Aujourd’hui, il existe des voitures électriques dans toutes les catégories de véhicules. L'achat d'une voiture électrique ne diffère donc plus beaucoup de l'achat d'une voiture à moteur à combustion.

  1. Prenez en compte le coût total (TCO)

Les voitures électriques sont souvent plus chères à l’achat qu'une voiture à combustion, mais leur utilisation est moins coûteuse. A partir d'un certain temps (ou d'une certaine distance parcourue),il est plus avantageux de rouler avec une voiture électrique. Vous trouverez une aide pour faire le calcul ici.

  1. De quelle autonomie avez-vous besoin ?

En Suisse, la distance moyenne parcourue par jour est d’environ 30 kilomètres. En général, les besoins en autonomie sont surestimés. En principe : plus l’autonomie est élevée, plus le véhicule est cher.

  1. Où pouvez-vous charger ?

Recharger à domicile est la solution la plus économique et la plus simple. Une borne de recharge à domicile est donc toujours un bon investissement. Celui qui ne peut pas charger à la maison ne doit pas pour autant renoncer à la voiture électrique: le réseau de recharge public en Suisse est l'un des meilleurs au monde.

02

Acheter une voiture électrique

L'achat d'une voiture électrique est une décision palpitante qui présente de nombreux avantages, tant sur le plan écologique qu'économique. Les voitures électriques sont non seulement plus respectueuses de l'environnement, mais aussi plus rentables que les véhicules traditionnels à moteur à combustion. Cependant, avant d'acheter un véhicule électrique, il y a quelques aspects importants à prendre en compte pour s'assurer que le véhicule répond à vos besoins et à vos attentes.

  1. Quelles exigences avez-vous pour une voiture ?

Réfléchis aux fonctionnalités qui te tiennent à cœur. Aujourd’hui, il existe des voitures électriques dans toutes les catégories de véhicules. L'achat d'une voiture électrique ne diffère donc plus beaucoup de l'achat d'une voiture à moteur à combustion.

  1. Prenez en compte le coût total (TCO)

Les voitures électriques sont souvent plus chères à l’achat qu'une voiture à combustion, mais leur utilisation est moins coûteuse. A partir d'un certain temps (ou d'une certaine distance parcourue),il est plus avantageux de rouler avec une voiture électrique. Vous trouverez une aide pour faire le calcul ici.

  1. De quelle autonomie avez-vous besoin ?

En Suisse, la distance moyenne parcourue par jour est d’environ 30 kilomètres. En général, les besoins en autonomie sont surestimés. En principe : plus l’autonomie est élevée, plus le véhicule est cher.

  1. Où pouvez-vous charger ?

Recharger à domicile est la solution la plus économique et la plus simple. Une borne de recharge à domicile est donc toujours un bon investissement. Celui qui ne peut pas charger à la maison ne doit pas pour autant renoncer à la voiture électrique: le réseau de recharge public en Suisse est l'un des meilleurs au monde.

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Acheter une voiture électrique

L'achat d'une voiture électrique est une décision palpitante qui présente de nombreux avantages, tant sur le plan écologique qu'économique. Les voitures électriques sont non seulement plus respectueuses de l'environnement, mais aussi plus rentables que les véhicules traditionnels à moteur à combustion. Cependant, avant d'acheter un véhicule électrique, il y a quelques aspects importants à prendre en compte pour s'assurer que le véhicule répond à vos besoins et à vos attentes.

  1. Quelles exigences avez-vous pour une voiture ?

Réfléchis aux fonctionnalités qui te tiennent à cœur. Aujourd’hui, il existe des voitures électriques dans toutes les catégories de véhicules. L'achat d'une voiture électrique ne diffère donc plus beaucoup de l'achat d'une voiture à moteur à combustion.

  1. Prenez en compte le coût total (TCO)

Les voitures électriques sont souvent plus chères à l’achat qu'une voiture à combustion, mais leur utilisation est moins coûteuse. A partir d'un certain temps (ou d'une certaine distance parcourue),il est plus avantageux de rouler avec une voiture électrique. Vous trouverez une aide pour faire le calcul ici.

  1. De quelle autonomie avez-vous besoin ?

En Suisse, la distance moyenne parcourue par jour est d’environ 30 kilomètres. En général, les besoins en autonomie sont surestimés. En principe : plus l’autonomie est élevée, plus le véhicule est cher.

  1. Où pouvez-vous charger ?

Recharger à domicile est la solution la plus économique et la plus simple. Une borne de recharge à domicile est donc toujours un bon investissement. Celui qui ne peut pas charger à la maison ne doit pas pour autant renoncer à la voiture électrique: le réseau de recharge public en Suisse est l'un des meilleurs au monde.

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Acheter une voiture électrique

L'achat d'une voiture électrique est une décision palpitante qui présente de nombreux avantages, tant sur le plan écologique qu'économique. Les voitures électriques sont non seulement plus respectueuses de l'environnement, mais aussi plus rentables que les véhicules traditionnels à moteur à combustion. Cependant, avant d'acheter un véhicule électrique, il y a quelques aspects importants à prendre en compte pour s'assurer que le véhicule répond à vos besoins et à vos attentes.

  1. Quelles exigences avez-vous pour une voiture ?

Réfléchis aux fonctionnalités qui te tiennent à cœur. Aujourd’hui, il existe des voitures électriques dans toutes les catégories de véhicules. L'achat d'une voiture électrique ne diffère donc plus beaucoup de l'achat d'une voiture à moteur à combustion.

  1. Prenez en compte le coût total (TCO)

Les voitures électriques sont souvent plus chères à l’achat qu'une voiture à combustion, mais leur utilisation est moins coûteuse. A partir d'un certain temps (ou d'une certaine distance parcourue),il est plus avantageux de rouler avec une voiture électrique. Vous trouverez une aide pour faire le calcul ici.

  1. De quelle autonomie avez-vous besoin ?

En Suisse, la distance moyenne parcourue par jour est d’environ 30 kilomètres. En général, les besoins en autonomie sont surestimés. En principe : plus l’autonomie est élevée, plus le véhicule est cher.

  1. Où pouvez-vous charger ?

Recharger à domicile est la solution la plus économique et la plus simple. Une borne de recharge à domicile est donc toujours un bon investissement. Celui qui ne peut pas charger à la maison ne doit pas pour autant renoncer à la voiture électrique: le réseau de recharge public en Suisse est l'un des meilleurs au monde.

03

Acheter une voiture électrique d'occasion

L'achat d'une voiture électrique d'occasion peut être un moyen économique de se lancer dans la mobilité électrique. Il y a cependant quelques aspects importants à prendre en compte avant l'achat afin de s'assurer d'acquérir un véhicule fiable et performant.

  1. Vérifiez la période de garantie de la batterie

Aujourd'hui, une garantie de 8 ans ou 160 000 km est la norme. La garantie de la batterie est souvent plus longue que celle du véhicule lui-même.

  1. La voiture d'occasion a-t-elle été directement importée?

Si la voiture a été immatriculée pour la première fois à l’étranger, il est important de vérifier si les conditions de garantie sont applicables en Suisse. L'achat de véhicules d'occasion importés en parallèle peut compliquer les réclamations et le suivi.

  1. Vérifiez l'état de la batterie

Un contrôle de l'état de la batterie donne des informations importantes sur la capacité restante.

  1. Vérifiez l'état des câbles de charge et des prises de charge

Les câbles de recharge doivent être vérifiés pour détecter d’éventuels signes évidents d’usure, et les prises de charge du véhicule doivent être examinées pour repérer d’éventuelles anomalies ou dommages.

03

Acheter une voiture électrique d'occasion

L'achat d'une voiture électrique d'occasion peut être un moyen économique de se lancer dans la mobilité électrique. Il y a cependant quelques aspects importants à prendre en compte avant l'achat afin de s'assurer d'acquérir un véhicule fiable et performant.

  1. Vérifiez la période de garantie de la batterie

Aujourd'hui, une garantie de 8 ans ou 160 000 km est la norme. La garantie de la batterie est souvent plus longue que celle du véhicule lui-même.

  1. La voiture d'occasion a-t-elle été directement importée?

Si la voiture a été immatriculée pour la première fois à l’étranger, il est important de vérifier si les conditions de garantie sont applicables en Suisse. L'achat de véhicules d'occasion importés en parallèle peut compliquer les réclamations et le suivi.

  1. Vérifiez l'état de la batterie

Un contrôle de l'état de la batterie donne des informations importantes sur la capacité restante.

  1. Vérifiez l'état des câbles de charge et des prises de charge

Les câbles de recharge doivent être vérifiés pour détecter d’éventuels signes évidents d’usure, et les prises de charge du véhicule doivent être examinées pour repérer d’éventuelles anomalies ou dommages.

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Acheter une voiture électrique d'occasion

L'achat d'une voiture électrique d'occasion peut être un moyen économique de se lancer dans la mobilité électrique. Il y a cependant quelques aspects importants à prendre en compte avant l'achat afin de s'assurer d'acquérir un véhicule fiable et performant.

  1. Vérifiez la période de garantie de la batterie

Aujourd'hui, une garantie de 8 ans ou 160 000 km est la norme. La garantie de la batterie est souvent plus longue que celle du véhicule lui-même.

  1. La voiture d'occasion a-t-elle été directement importée?

Si la voiture a été immatriculée pour la première fois à l’étranger, il est important de vérifier si les conditions de garantie sont applicables en Suisse. L'achat de véhicules d'occasion importés en parallèle peut compliquer les réclamations et le suivi.

  1. Vérifiez l'état de la batterie

Un contrôle de l'état de la batterie donne des informations importantes sur la capacité restante.

  1. Vérifiez l'état des câbles de charge et des prises de charge

Les câbles de recharge doivent être vérifiés pour détecter d’éventuels signes évidents d’usure, et les prises de charge du véhicule doivent être examinées pour repérer d’éventuelles anomalies ou dommages.

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Acheter une voiture électrique d'occasion

L'achat d'une voiture électrique d'occasion peut être un moyen économique de se lancer dans la mobilité électrique. Il y a cependant quelques aspects importants à prendre en compte avant l'achat afin de s'assurer d'acquérir un véhicule fiable et performant.

  1. Vérifiez la période de garantie de la batterie

Aujourd'hui, une garantie de 8 ans ou 160 000 km est la norme. La garantie de la batterie est souvent plus longue que celle du véhicule lui-même.

  1. La voiture d'occasion a-t-elle été directement importée?

Si la voiture a été immatriculée pour la première fois à l’étranger, il est important de vérifier si les conditions de garantie sont applicables en Suisse. L'achat de véhicules d'occasion importés en parallèle peut compliquer les réclamations et le suivi.

  1. Vérifiez l'état de la batterie

Un contrôle de l'état de la batterie donne des informations importantes sur la capacité restante.

  1. Vérifiez l'état des câbles de charge et des prises de charge

Les câbles de recharge doivent être vérifiés pour détecter d’éventuels signes évidents d’usure, et les prises de charge du véhicule doivent être examinées pour repérer d’éventuelles anomalies ou dommages.

04

Charger une voiture électrique

Recharger ≠ Faire le plein. L'approvisionnement en énergie d'une voiture électrique est varié et offre bien plus de possibilités que l’obligatoire détour par une station-service. Cependant, ces nombreuses options peuvent rendre le processus plus complexe. C’est pourquoi nous expliquons ici l’essentiel sur la recharge. Vous trouverez davantage d’informations dans la rubrique correspondante.

La recharge d'une voiture électrique est un aspect central de la mobilité électrique. Du choix de la bonne infrastructure de recharge à l'optimisation des temps de recharge, plusieurs points importants doivent être pris en compte pour garantir une expérience de recharge efficace et confortable.

  1. Types de recharge
  • Recharge à domicile : Recharger chez soi est la méthode la plus pratique et économique. Une borne murale (wallbox) assure une charge plus rapide et plus sûre par rapport à une prise électrique normale.

  • Stations de charge publiques : Idéales pour les déplacements, elles offrent différentes vitesses de recharge, allant des bornes à courant alternatif (AC) standard aux bornes de recharge rapide à courant continu (DC).

  • Recharge sur le lieu de travail : de nombreux employeurs proposent désormais des stations de recharge, ce qui permet de recharger pendant les heures de travail.

  1. Temps de recharge
  • Charge lente : Sur des prises normales, il faut plus de temps pour recharger complètement la batterie. Cette méthode est cependant idéale pour la nuit.

  • Charge rapide : Aux les bornes de recharge rapide publiques, il est possible de charger jusqu’à 80 % de la batterie en peu de temps, ce qui est particulièrement pratique pour les longs trajets.

  1. Coûts de recharge
  • Les coûts de recharge varient selon l’emplacement et la vitesse de recharge. La recharge à domicile est généralement moins chère que celle aux bornes publiques. De nombreux fournisseurs d’énergie proposent des tarifs spéciaux pour les propriétaires de voitures électriques.

4. Infrastructures de recharge
  • La disponibilité des stations de recharge ne cesse de croître. Il est important de se renseigner sur les infrastructures de recharge dans votre région et le long de vos trajets typiques. Plusieurs applications et systèmes de navigation indiquent les stations de recharge disponibles en temps réel.

5. Conseils pour une recharge efficace
  • Planification : Planifiez les trajets plus longs à l'avance et assurez-vous que des stations de recharge soient disponibles sur votre itinéraire.

  • Gestion de la température : Rechargez votre véhicule à des températures optimales afin de maximiser l'efficacité de la charge.

  • Habitudes de recharge: Rechargez régulièrement pour toujours disposer d’une autonomie suffisante et évitez de vider complètement la batterie.

04

Charger une voiture électrique

Recharger ≠ Faire le plein. L'approvisionnement en énergie d'une voiture électrique est varié et offre bien plus de possibilités que l’obligatoire détour par une station-service. Cependant, ces nombreuses options peuvent rendre le processus plus complexe. C’est pourquoi nous expliquons ici l’essentiel sur la recharge. Vous trouverez davantage d’informations dans la rubrique correspondante.

La recharge d'une voiture électrique est un aspect central de la mobilité électrique. Du choix de la bonne infrastructure de recharge à l'optimisation des temps de recharge, plusieurs points importants doivent être pris en compte pour garantir une expérience de recharge efficace et confortable.

  1. Types de recharge
  • Recharge à domicile : Recharger chez soi est la méthode la plus pratique et économique. Une borne murale (wallbox) assure une charge plus rapide et plus sûre par rapport à une prise électrique normale.

  • Stations de charge publiques : Idéales pour les déplacements, elles offrent différentes vitesses de recharge, allant des bornes à courant alternatif (AC) standard aux bornes de recharge rapide à courant continu (DC).

  • Recharge sur le lieu de travail : de nombreux employeurs proposent désormais des stations de recharge, ce qui permet de recharger pendant les heures de travail.

  1. Temps de recharge
  • Charge lente : Sur des prises normales, il faut plus de temps pour recharger complètement la batterie. Cette méthode est cependant idéale pour la nuit.

  • Charge rapide : Aux les bornes de recharge rapide publiques, il est possible de charger jusqu’à 80 % de la batterie en peu de temps, ce qui est particulièrement pratique pour les longs trajets.

  1. Coûts de recharge
  • Les coûts de recharge varient selon l’emplacement et la vitesse de recharge. La recharge à domicile est généralement moins chère que celle aux bornes publiques. De nombreux fournisseurs d’énergie proposent des tarifs spéciaux pour les propriétaires de voitures électriques.

4. Infrastructures de recharge
  • La disponibilité des stations de recharge ne cesse de croître. Il est important de se renseigner sur les infrastructures de recharge dans votre région et le long de vos trajets typiques. Plusieurs applications et systèmes de navigation indiquent les stations de recharge disponibles en temps réel.

5. Conseils pour une recharge efficace
  • Planification : Planifiez les trajets plus longs à l'avance et assurez-vous que des stations de recharge soient disponibles sur votre itinéraire.

  • Gestion de la température : Rechargez votre véhicule à des températures optimales afin de maximiser l'efficacité de la charge.

  • Habitudes de recharge: Rechargez régulièrement pour toujours disposer d’une autonomie suffisante et évitez de vider complètement la batterie.

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Charger une voiture électrique

Recharger ≠ Faire le plein. L'approvisionnement en énergie d'une voiture électrique est varié et offre bien plus de possibilités que l’obligatoire détour par une station-service. Cependant, ces nombreuses options peuvent rendre le processus plus complexe. C’est pourquoi nous expliquons ici l’essentiel sur la recharge. Vous trouverez davantage d’informations dans la rubrique correspondante.

La recharge d'une voiture électrique est un aspect central de la mobilité électrique. Du choix de la bonne infrastructure de recharge à l'optimisation des temps de recharge, plusieurs points importants doivent être pris en compte pour garantir une expérience de recharge efficace et confortable.

  1. Types de recharge
  • Recharge à domicile : Recharger chez soi est la méthode la plus pratique et économique. Une borne murale (wallbox) assure une charge plus rapide et plus sûre par rapport à une prise électrique normale.

  • Stations de charge publiques : Idéales pour les déplacements, elles offrent différentes vitesses de recharge, allant des bornes à courant alternatif (AC) standard aux bornes de recharge rapide à courant continu (DC).

  • Recharge sur le lieu de travail : de nombreux employeurs proposent désormais des stations de recharge, ce qui permet de recharger pendant les heures de travail.

  1. Temps de recharge
  • Charge lente : Sur des prises normales, il faut plus de temps pour recharger complètement la batterie. Cette méthode est cependant idéale pour la nuit.

  • Charge rapide : Aux les bornes de recharge rapide publiques, il est possible de charger jusqu’à 80 % de la batterie en peu de temps, ce qui est particulièrement pratique pour les longs trajets.

  1. Coûts de recharge
  • Les coûts de recharge varient selon l’emplacement et la vitesse de recharge. La recharge à domicile est généralement moins chère que celle aux bornes publiques. De nombreux fournisseurs d’énergie proposent des tarifs spéciaux pour les propriétaires de voitures électriques.

4. Infrastructures de recharge
  • La disponibilité des stations de recharge ne cesse de croître. Il est important de se renseigner sur les infrastructures de recharge dans votre région et le long de vos trajets typiques. Plusieurs applications et systèmes de navigation indiquent les stations de recharge disponibles en temps réel.

5. Conseils pour une recharge efficace
  • Planification : Planifiez les trajets plus longs à l'avance et assurez-vous que des stations de recharge soient disponibles sur votre itinéraire.

  • Gestion de la température : Rechargez votre véhicule à des températures optimales afin de maximiser l'efficacité de la charge.

  • Habitudes de recharge: Rechargez régulièrement pour toujours disposer d’une autonomie suffisante et évitez de vider complètement la batterie.

04

Charger une voiture électrique

Recharger ≠ Faire le plein. L'approvisionnement en énergie d'une voiture électrique est varié et offre bien plus de possibilités que l’obligatoire détour par une station-service. Cependant, ces nombreuses options peuvent rendre le processus plus complexe. C’est pourquoi nous expliquons ici l’essentiel sur la recharge. Vous trouverez davantage d’informations dans la rubrique correspondante.

La recharge d'une voiture électrique est un aspect central de la mobilité électrique. Du choix de la bonne infrastructure de recharge à l'optimisation des temps de recharge, plusieurs points importants doivent être pris en compte pour garantir une expérience de recharge efficace et confortable.

  1. Types de recharge
  • Recharge à domicile : Recharger chez soi est la méthode la plus pratique et économique. Une borne murale (wallbox) assure une charge plus rapide et plus sûre par rapport à une prise électrique normale.

  • Stations de charge publiques : Idéales pour les déplacements, elles offrent différentes vitesses de recharge, allant des bornes à courant alternatif (AC) standard aux bornes de recharge rapide à courant continu (DC).

  • Recharge sur le lieu de travail : de nombreux employeurs proposent désormais des stations de recharge, ce qui permet de recharger pendant les heures de travail.

  1. Temps de recharge
  • Charge lente : Sur des prises normales, il faut plus de temps pour recharger complètement la batterie. Cette méthode est cependant idéale pour la nuit.

  • Charge rapide : Aux les bornes de recharge rapide publiques, il est possible de charger jusqu’à 80 % de la batterie en peu de temps, ce qui est particulièrement pratique pour les longs trajets.

  1. Coûts de recharge
  • Les coûts de recharge varient selon l’emplacement et la vitesse de recharge. La recharge à domicile est généralement moins chère que celle aux bornes publiques. De nombreux fournisseurs d’énergie proposent des tarifs spéciaux pour les propriétaires de voitures électriques.

4. Infrastructures de recharge
  • La disponibilité des stations de recharge ne cesse de croître. Il est important de se renseigner sur les infrastructures de recharge dans votre région et le long de vos trajets typiques. Plusieurs applications et systèmes de navigation indiquent les stations de recharge disponibles en temps réel.

5. Conseils pour une recharge efficace
  • Planification : Planifiez les trajets plus longs à l'avance et assurez-vous que des stations de recharge soient disponibles sur votre itinéraire.

  • Gestion de la température : Rechargez votre véhicule à des températures optimales afin de maximiser l'efficacité de la charge.

  • Habitudes de recharge: Rechargez régulièrement pour toujours disposer d’une autonomie suffisante et évitez de vider complètement la batterie.

05

Conduire une voiture électrique

La conduite d’une voiture électrique diffère nettement de celle des véhicules traditionnels à moteur à combustion. L’accélération est particulièrement remarquable : grâce au moteur électrique, le couple moteur maximal est disponible instantanément, offrant ainsi une conduite dynamique et puissante. Attention donc lors des démarrages : jusqu’à une vitesse de 80 km/h, les voitures électriques accélèrent bien plus rapidement que les voitures à combustion.

Conduite électrique

Une autre différence est ce que l'on appelle le « one pedal driving ». Grâce à la récupération d'énergie via le frein à moteur, il est souvent possible de ralentir la voiture simplement en relâchant la pédale d'accélérateur. Cette fonction permet non seulement de se sentir plus détendu au volant, mais aussi de préserver les freins.

Lors de la conduite en roue libre, c’est-à-dire lorsque le véhicule roule sans résistance du moteur, la voiture électrique glisse presque sans bruit– un véritable atout pour le confort de conduite. En parlant de silence : le système AVAS (Acoustic Vehicle Alerting System), désormais obligatoire, émet un bourdonnement artificiel pour permettre aux piétons et aux cyclistes d’entendre le véhicule à faible vitesse.

Les voitures électriques se distinguent également par leur sécurité. Leur centre de gravité bas, dû aux batteries intégrées dans le plancher, assure une tenue de route stable. De plus, le contrôle précis du moteur améliore la conduite sur les routes glissantes ou sinueuses.

05

Conduire une voiture électrique

La conduite d’une voiture électrique diffère nettement de celle des véhicules traditionnels à moteur à combustion. L’accélération est particulièrement remarquable : grâce au moteur électrique, le couple moteur maximal est disponible instantanément, offrant ainsi une conduite dynamique et puissante. Attention donc lors des démarrages : jusqu’à une vitesse de 80 km/h, les voitures électriques accélèrent bien plus rapidement que les voitures à combustion.

Conduite électrique

Une autre différence est ce que l'on appelle le « one pedal driving ». Grâce à la récupération d'énergie via le frein à moteur, il est souvent possible de ralentir la voiture simplement en relâchant la pédale d'accélérateur. Cette fonction permet non seulement de se sentir plus détendu au volant, mais aussi de préserver les freins.

Lors de la conduite en roue libre, c’est-à-dire lorsque le véhicule roule sans résistance du moteur, la voiture électrique glisse presque sans bruit– un véritable atout pour le confort de conduite. En parlant de silence : le système AVAS (Acoustic Vehicle Alerting System), désormais obligatoire, émet un bourdonnement artificiel pour permettre aux piétons et aux cyclistes d’entendre le véhicule à faible vitesse.

Les voitures électriques se distinguent également par leur sécurité. Leur centre de gravité bas, dû aux batteries intégrées dans le plancher, assure une tenue de route stable. De plus, le contrôle précis du moteur améliore la conduite sur les routes glissantes ou sinueuses.

05

Conduire une voiture électrique

La conduite d’une voiture électrique diffère nettement de celle des véhicules traditionnels à moteur à combustion. L’accélération est particulièrement remarquable : grâce au moteur électrique, le couple moteur maximal est disponible instantanément, offrant ainsi une conduite dynamique et puissante. Attention donc lors des démarrages : jusqu’à une vitesse de 80 km/h, les voitures électriques accélèrent bien plus rapidement que les voitures à combustion.

Conduite électrique

Une autre différence est ce que l'on appelle le « one pedal driving ». Grâce à la récupération d'énergie via le frein à moteur, il est souvent possible de ralentir la voiture simplement en relâchant la pédale d'accélérateur. Cette fonction permet non seulement de se sentir plus détendu au volant, mais aussi de préserver les freins.

Lors de la conduite en roue libre, c’est-à-dire lorsque le véhicule roule sans résistance du moteur, la voiture électrique glisse presque sans bruit– un véritable atout pour le confort de conduite. En parlant de silence : le système AVAS (Acoustic Vehicle Alerting System), désormais obligatoire, émet un bourdonnement artificiel pour permettre aux piétons et aux cyclistes d’entendre le véhicule à faible vitesse.

Les voitures électriques se distinguent également par leur sécurité. Leur centre de gravité bas, dû aux batteries intégrées dans le plancher, assure une tenue de route stable. De plus, le contrôle précis du moteur améliore la conduite sur les routes glissantes ou sinueuses.

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Conduire une voiture électrique

La conduite d’une voiture électrique diffère nettement de celle des véhicules traditionnels à moteur à combustion. L’accélération est particulièrement remarquable : grâce au moteur électrique, le couple moteur maximal est disponible instantanément, offrant ainsi une conduite dynamique et puissante. Attention donc lors des démarrages : jusqu’à une vitesse de 80 km/h, les voitures électriques accélèrent bien plus rapidement que les voitures à combustion.

Conduite électrique

Une autre différence est ce que l'on appelle le « one pedal driving ». Grâce à la récupération d'énergie via le frein à moteur, il est souvent possible de ralentir la voiture simplement en relâchant la pédale d'accélérateur. Cette fonction permet non seulement de se sentir plus détendu au volant, mais aussi de préserver les freins.

Lors de la conduite en roue libre, c’est-à-dire lorsque le véhicule roule sans résistance du moteur, la voiture électrique glisse presque sans bruit– un véritable atout pour le confort de conduite. En parlant de silence : le système AVAS (Acoustic Vehicle Alerting System), désormais obligatoire, émet un bourdonnement artificiel pour permettre aux piétons et aux cyclistes d’entendre le véhicule à faible vitesse.

Les voitures électriques se distinguent également par leur sécurité. Leur centre de gravité bas, dû aux batteries intégrées dans le plancher, assure une tenue de route stable. De plus, le contrôle précis du moteur améliore la conduite sur les routes glissantes ou sinueuses.

06

Augmenter l'autonomie

De manière générale, le besoin en autonomie est souvent surestimé. En Suisse, les distances moyennes parcourues quotidiennement sont courtes (un peu plus de 30 km). Dans le cadre d'une utilisation quotidienne, on ne doit donc pas se soucier de disposer de suffisamment d'énergie pour rouler en voiture électrique.

Pour les trajets plus longs, quelques astuces permettent d’augmenter l’autonomie :

  • Avant un long trajet, pensez à régler la charge de la batterie à 100 % (par défaut, les batteries sont généralement chargées à 80 %). Vous pouvez effectuer ce réglage via dans le véhicule ou sur l’application sur votre smartphone.

  • Une conduite régulière est la plus économe en énergie. Les systèmes d'assurance à la conduite comme le régulateur de vitesse ou le mode éco vous aident également. Certains modèles proposent également différents programmes de conduite pour les trajets en ville ou à la campagne.

  • Chauffez ou climatisez votre véhicule pendant qu’il est encore branché à la borne de recharge. De plus, certains véhicules disposent de la possibilité de climatiser uniquement la zone du conducteur.

  • Contrôlez la pression des pneus. Un manque de 0.3 bar suffit à augmenter de manière significative la résistance au roulement et à influencer l'autonomie.

  • Laissez les charges inutiles ou superflus dans le garage. De plus, les porte-bagages arrière ou sur le toit non utilisés nuisent à l’aérodynamisme et augmentent la consommation d’énergie.

06

Augmenter l'autonomie

De manière générale, le besoin en autonomie est souvent surestimé. En Suisse, les distances moyennes parcourues quotidiennement sont courtes (un peu plus de 30 km). Dans le cadre d'une utilisation quotidienne, on ne doit donc pas se soucier de disposer de suffisamment d'énergie pour rouler en voiture électrique.

Pour les trajets plus longs, quelques astuces permettent d’augmenter l’autonomie :

  • Avant un long trajet, pensez à régler la charge de la batterie à 100 % (par défaut, les batteries sont généralement chargées à 80 %). Vous pouvez effectuer ce réglage via dans le véhicule ou sur l’application sur votre smartphone.

  • Une conduite régulière est la plus économe en énergie. Les systèmes d'assurance à la conduite comme le régulateur de vitesse ou le mode éco vous aident également. Certains modèles proposent également différents programmes de conduite pour les trajets en ville ou à la campagne.

  • Chauffez ou climatisez votre véhicule pendant qu’il est encore branché à la borne de recharge. De plus, certains véhicules disposent de la possibilité de climatiser uniquement la zone du conducteur.

  • Contrôlez la pression des pneus. Un manque de 0.3 bar suffit à augmenter de manière significative la résistance au roulement et à influencer l'autonomie.

  • Laissez les charges inutiles ou superflus dans le garage. De plus, les porte-bagages arrière ou sur le toit non utilisés nuisent à l’aérodynamisme et augmentent la consommation d’énergie.

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Augmenter l'autonomie

De manière générale, le besoin en autonomie est souvent surestimé. En Suisse, les distances moyennes parcourues quotidiennement sont courtes (un peu plus de 30 km). Dans le cadre d'une utilisation quotidienne, on ne doit donc pas se soucier de disposer de suffisamment d'énergie pour rouler en voiture électrique.

Pour les trajets plus longs, quelques astuces permettent d’augmenter l’autonomie :

  • Avant un long trajet, pensez à régler la charge de la batterie à 100 % (par défaut, les batteries sont généralement chargées à 80 %). Vous pouvez effectuer ce réglage via dans le véhicule ou sur l’application sur votre smartphone.

  • Une conduite régulière est la plus économe en énergie. Les systèmes d'assurance à la conduite comme le régulateur de vitesse ou le mode éco vous aident également. Certains modèles proposent également différents programmes de conduite pour les trajets en ville ou à la campagne.

  • Chauffez ou climatisez votre véhicule pendant qu’il est encore branché à la borne de recharge. De plus, certains véhicules disposent de la possibilité de climatiser uniquement la zone du conducteur.

  • Contrôlez la pression des pneus. Un manque de 0.3 bar suffit à augmenter de manière significative la résistance au roulement et à influencer l'autonomie.

  • Laissez les charges inutiles ou superflus dans le garage. De plus, les porte-bagages arrière ou sur le toit non utilisés nuisent à l’aérodynamisme et augmentent la consommation d’énergie.

06

Augmenter l'autonomie

De manière générale, le besoin en autonomie est souvent surestimé. En Suisse, les distances moyennes parcourues quotidiennement sont courtes (un peu plus de 30 km). Dans le cadre d'une utilisation quotidienne, on ne doit donc pas se soucier de disposer de suffisamment d'énergie pour rouler en voiture électrique.

Pour les trajets plus longs, quelques astuces permettent d’augmenter l’autonomie :

  • Avant un long trajet, pensez à régler la charge de la batterie à 100 % (par défaut, les batteries sont généralement chargées à 80 %). Vous pouvez effectuer ce réglage via dans le véhicule ou sur l’application sur votre smartphone.

  • Une conduite régulière est la plus économe en énergie. Les systèmes d'assurance à la conduite comme le régulateur de vitesse ou le mode éco vous aident également. Certains modèles proposent également différents programmes de conduite pour les trajets en ville ou à la campagne.

  • Chauffez ou climatisez votre véhicule pendant qu’il est encore branché à la borne de recharge. De plus, certains véhicules disposent de la possibilité de climatiser uniquement la zone du conducteur.

  • Contrôlez la pression des pneus. Un manque de 0.3 bar suffit à augmenter de manière significative la résistance au roulement et à influencer l'autonomie.

  • Laissez les charges inutiles ou superflus dans le garage. De plus, les porte-bagages arrière ou sur le toit non utilisés nuisent à l’aérodynamisme et augmentent la consommation d’énergie.

07

La voiture électrique en hiver

Les voitures électriques résistent bien à l'hiver, mais leur autonomie est réduite et le temps de recharge est plus long.
À 0 °C, la consommation supplémentaire d’une voiture électrique moderne est d’environ 25 %. Lorsque les températures descendent nettement en dessous de zéro, cette augmentation de consommation peut devenir significative.

La charge rapide, en particulier, dure nettement plus longtemps lorsque la batterie est froide. Il est donc recommandé de porter la batterie à sa température de fonctionnement optimale (entre 20 et 40 °C) avant de commencer le processus de recharge. Les véhicules modernes proposent avant un chargement rapide de « préconditionner » ou « préchauffer » la batterie.

Pour maximiser les performances et l’autonomie en hiver, il est également conseillé de préchauffer le véhicule lorsqu’il est encore branché à la borne de recharge avant le départ.

07

La voiture électrique en hiver

Les voitures électriques résistent bien à l'hiver, mais leur autonomie est réduite et le temps de recharge est plus long.
À 0 °C, la consommation supplémentaire d’une voiture électrique moderne est d’environ 25 %. Lorsque les températures descendent nettement en dessous de zéro, cette augmentation de consommation peut devenir significative.

La charge rapide, en particulier, dure nettement plus longtemps lorsque la batterie est froide. Il est donc recommandé de porter la batterie à sa température de fonctionnement optimale (entre 20 et 40 °C) avant de commencer le processus de recharge. Les véhicules modernes proposent avant un chargement rapide de « préconditionner » ou « préchauffer » la batterie.

Pour maximiser les performances et l’autonomie en hiver, il est également conseillé de préchauffer le véhicule lorsqu’il est encore branché à la borne de recharge avant le départ.

07

La voiture électrique en hiver

Les voitures électriques résistent bien à l'hiver, mais leur autonomie est réduite et le temps de recharge est plus long.
À 0 °C, la consommation supplémentaire d’une voiture électrique moderne est d’environ 25 %. Lorsque les températures descendent nettement en dessous de zéro, cette augmentation de consommation peut devenir significative.

La charge rapide, en particulier, dure nettement plus longtemps lorsque la batterie est froide. Il est donc recommandé de porter la batterie à sa température de fonctionnement optimale (entre 20 et 40 °C) avant de commencer le processus de recharge. Les véhicules modernes proposent avant un chargement rapide de « préconditionner » ou « préchauffer » la batterie.

Pour maximiser les performances et l’autonomie en hiver, il est également conseillé de préchauffer le véhicule lorsqu’il est encore branché à la borne de recharge avant le départ.

07

La voiture électrique en hiver

Les voitures électriques résistent bien à l'hiver, mais leur autonomie est réduite et le temps de recharge est plus long.
À 0 °C, la consommation supplémentaire d’une voiture électrique moderne est d’environ 25 %. Lorsque les températures descendent nettement en dessous de zéro, cette augmentation de consommation peut devenir significative.

La charge rapide, en particulier, dure nettement plus longtemps lorsque la batterie est froide. Il est donc recommandé de porter la batterie à sa température de fonctionnement optimale (entre 20 et 40 °C) avant de commencer le processus de recharge. Les véhicules modernes proposent avant un chargement rapide de « préconditionner » ou « préchauffer » la batterie.

Pour maximiser les performances et l’autonomie en hiver, il est également conseillé de préchauffer le véhicule lorsqu’il est encore branché à la borne de recharge avant le départ.

Autres véhicules électriques

Un nombre croissant de véhicules routiers, maritimes et aériens adoptent l’électrification. Les avancées technologiques et la réduction des coûts des batteries permettent désormais de transporter de lourdes charges sur de longues distances. Ainsi, la mobilité électrique s'imposera à l'avenir comme la technologie de référence pour les véhicules utilitaires légers et lourds, les bus et les bateaux (jusqu'à une certaine taille).

01

Véhicules utilitaires légers

Les véhicules utilitaires légers sont définis comme des moyens de transport de marchandises à quatre roues, dont la masse totale ne dépasse pas 3.5 tonnes. Toutefois, en raison du poids important des batteries, les véhicules utilitaires légers équipés d’un moteur électrique peuvent atteindre un poids total de 4.25 tonnes.

Ce segment de véhicules est traditionnellement dominé par les motorisations diesel. Cependant, les véhicules utilitaires légers électriques prennent une place de plus en plus importante dans la logistique moderne et le secteur des transports. Leurs avantages sont similaires à ceux des voitures de tourisme : plus silencieuses, plus écologiques et plus économiques sur le long terme. Les bénéfices en termes de réduction de bruit se manifestent particulièrement sur le dernier kilomètre en milieu urbain, où les livraisons ont souvent lieu tôt le matin.

Malgré ces nombreux avantages, la pénétration du marché des utilitaires électriques reste pour l’instant modérée. Pour que le marché prenne son envol, prévu dans les mois et années à venir, des ajustements sont encore nécessaires, notamment des ajustements sur le prix de vente ainsi que des normes d’émissions plus strictes.

01

Véhicules utilitaires légers

Les véhicules utilitaires légers sont définis comme des moyens de transport de marchandises à quatre roues, dont la masse totale ne dépasse pas 3.5 tonnes. Toutefois, en raison du poids important des batteries, les véhicules utilitaires légers équipés d’un moteur électrique peuvent atteindre un poids total de 4.25 tonnes.

Ce segment de véhicules est traditionnellement dominé par les motorisations diesel. Cependant, les véhicules utilitaires légers électriques prennent une place de plus en plus importante dans la logistique moderne et le secteur des transports. Leurs avantages sont similaires à ceux des voitures de tourisme : plus silencieuses, plus écologiques et plus économiques sur le long terme. Les bénéfices en termes de réduction de bruit se manifestent particulièrement sur le dernier kilomètre en milieu urbain, où les livraisons ont souvent lieu tôt le matin.

Malgré ces nombreux avantages, la pénétration du marché des utilitaires électriques reste pour l’instant modérée. Pour que le marché prenne son envol, prévu dans les mois et années à venir, des ajustements sont encore nécessaires, notamment des ajustements sur le prix de vente ainsi que des normes d’émissions plus strictes.

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Véhicules utilitaires légers

Les véhicules utilitaires légers sont définis comme des moyens de transport de marchandises à quatre roues, dont la masse totale ne dépasse pas 3.5 tonnes. Toutefois, en raison du poids important des batteries, les véhicules utilitaires légers équipés d’un moteur électrique peuvent atteindre un poids total de 4.25 tonnes.

Ce segment de véhicules est traditionnellement dominé par les motorisations diesel. Cependant, les véhicules utilitaires légers électriques prennent une place de plus en plus importante dans la logistique moderne et le secteur des transports. Leurs avantages sont similaires à ceux des voitures de tourisme : plus silencieuses, plus écologiques et plus économiques sur le long terme. Les bénéfices en termes de réduction de bruit se manifestent particulièrement sur le dernier kilomètre en milieu urbain, où les livraisons ont souvent lieu tôt le matin.

Malgré ces nombreux avantages, la pénétration du marché des utilitaires électriques reste pour l’instant modérée. Pour que le marché prenne son envol, prévu dans les mois et années à venir, des ajustements sont encore nécessaires, notamment des ajustements sur le prix de vente ainsi que des normes d’émissions plus strictes.

01

Véhicules utilitaires légers

Les véhicules utilitaires légers sont définis comme des moyens de transport de marchandises à quatre roues, dont la masse totale ne dépasse pas 3.5 tonnes. Toutefois, en raison du poids important des batteries, les véhicules utilitaires légers équipés d’un moteur électrique peuvent atteindre un poids total de 4.25 tonnes.

Ce segment de véhicules est traditionnellement dominé par les motorisations diesel. Cependant, les véhicules utilitaires légers électriques prennent une place de plus en plus importante dans la logistique moderne et le secteur des transports. Leurs avantages sont similaires à ceux des voitures de tourisme : plus silencieuses, plus écologiques et plus économiques sur le long terme. Les bénéfices en termes de réduction de bruit se manifestent particulièrement sur le dernier kilomètre en milieu urbain, où les livraisons ont souvent lieu tôt le matin.

Malgré ces nombreux avantages, la pénétration du marché des utilitaires électriques reste pour l’instant modérée. Pour que le marché prenne son envol, prévu dans les mois et années à venir, des ajustements sont encore nécessaires, notamment des ajustements sur le prix de vente ainsi que des normes d’émissions plus strictes.

02

Poids lourds

Pendant des années, la logistique lourde électrique à batterie semblait hors de portée. Cependant, avec les progrès continus des batteries (densité énergétique accrue, coûts réduits), il devient de plus en plus évident que la transition vers les motorisations alternatives, y compris pour les poids lourds, passe par la propulsion électrique et donc par les batteries.

Désormais, plus de 80 % des concepteurs de véhicules utilitaires lourds à propulsion alternative misent sur la batterie (selon Forbes). Les poids lourds électriques offrent de nombreux avantages par rapport aux camions diesel : des émissions de CO₂ nettement réduites sur l’ensemble de leur cycle de vie, une efficacité énergétique bien supérieure et un niveau sonore beaucoup plus bas. Ceci permet de désengorger le trafic en journée et de circuler discrètement la nuit. De plus, un nombre croissant de villes et de zones urbaines ont créé des zones environnementales accessibles également aux camions électriques.

Désormais, les camions électriques de 40 tonnes atteignent une autonomie de plus de 500 kilomètres (avec charge) et une charge utile de plus de 20 tonnes. La consommation dépend de la charge et de l'utilisation (par exemple, la consommation des camions de collecte de déchets est plus élevée que celle des véhicules de transport). En règle générale, on peut estimer que la consommation est de 150 kWh pour 100 km.

Le coup d'envoi pour le déploiement d'un réseau de recharge rapide en Europe a été donné. Les étapes d'expansion sont définies via le Règlement de l'Union européenne. Un avantage de la logistique électrique est également la recharge sur site, appelée « destination charging », c'est-à-dire la recharge directement au hub logistique. En Suisse, la mise en place d'un réseau national de recharge rapide pour les poids lourds électriques est en cours de planification.

Outre les poids lourds électriques, des machines de travail électriques, comme celles utilisées dans la construction et l'exploitation minière, sont également disponibles, bien que leur nombre et leur variété soient encore limités.

02

Poids lourds

Pendant des années, la logistique lourde électrique à batterie semblait hors de portée. Cependant, avec les progrès continus des batteries (densité énergétique accrue, coûts réduits), il devient de plus en plus évident que la transition vers les motorisations alternatives, y compris pour les poids lourds, passe par la propulsion électrique et donc par les batteries.

Désormais, plus de 80 % des concepteurs de véhicules utilitaires lourds à propulsion alternative misent sur la batterie (selon Forbes). Les poids lourds électriques offrent de nombreux avantages par rapport aux camions diesel : des émissions de CO₂ nettement réduites sur l’ensemble de leur cycle de vie, une efficacité énergétique bien supérieure et un niveau sonore beaucoup plus bas. Ceci permet de désengorger le trafic en journée et de circuler discrètement la nuit. De plus, un nombre croissant de villes et de zones urbaines ont créé des zones environnementales accessibles également aux camions électriques.

Désormais, les camions électriques de 40 tonnes atteignent une autonomie de plus de 500 kilomètres (avec charge) et une charge utile de plus de 20 tonnes. La consommation dépend de la charge et de l'utilisation (par exemple, la consommation des camions de collecte de déchets est plus élevée que celle des véhicules de transport). En règle générale, on peut estimer que la consommation est de 150 kWh pour 100 km.

Le coup d'envoi pour le déploiement d'un réseau de recharge rapide en Europe a été donné. Les étapes d'expansion sont définies via le Règlement de l'Union européenne. Un avantage de la logistique électrique est également la recharge sur site, appelée « destination charging », c'est-à-dire la recharge directement au hub logistique. En Suisse, la mise en place d'un réseau national de recharge rapide pour les poids lourds électriques est en cours de planification.

Outre les poids lourds électriques, des machines de travail électriques, comme celles utilisées dans la construction et l'exploitation minière, sont également disponibles, bien que leur nombre et leur variété soient encore limités.

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Poids lourds

Pendant des années, la logistique lourde électrique à batterie semblait hors de portée. Cependant, avec les progrès continus des batteries (densité énergétique accrue, coûts réduits), il devient de plus en plus évident que la transition vers les motorisations alternatives, y compris pour les poids lourds, passe par la propulsion électrique et donc par les batteries.

Désormais, plus de 80 % des concepteurs de véhicules utilitaires lourds à propulsion alternative misent sur la batterie (selon Forbes). Les poids lourds électriques offrent de nombreux avantages par rapport aux camions diesel : des émissions de CO₂ nettement réduites sur l’ensemble de leur cycle de vie, une efficacité énergétique bien supérieure et un niveau sonore beaucoup plus bas. Ceci permet de désengorger le trafic en journée et de circuler discrètement la nuit. De plus, un nombre croissant de villes et de zones urbaines ont créé des zones environnementales accessibles également aux camions électriques.

Désormais, les camions électriques de 40 tonnes atteignent une autonomie de plus de 500 kilomètres (avec charge) et une charge utile de plus de 20 tonnes. La consommation dépend de la charge et de l'utilisation (par exemple, la consommation des camions de collecte de déchets est plus élevée que celle des véhicules de transport). En règle générale, on peut estimer que la consommation est de 150 kWh pour 100 km.

Le coup d'envoi pour le déploiement d'un réseau de recharge rapide en Europe a été donné. Les étapes d'expansion sont définies via le Règlement de l'Union européenne. Un avantage de la logistique électrique est également la recharge sur site, appelée « destination charging », c'est-à-dire la recharge directement au hub logistique. En Suisse, la mise en place d'un réseau national de recharge rapide pour les poids lourds électriques est en cours de planification.

Outre les poids lourds électriques, des machines de travail électriques, comme celles utilisées dans la construction et l'exploitation minière, sont également disponibles, bien que leur nombre et leur variété soient encore limités.

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Poids lourds

Pendant des années, la logistique lourde électrique à batterie semblait hors de portée. Cependant, avec les progrès continus des batteries (densité énergétique accrue, coûts réduits), il devient de plus en plus évident que la transition vers les motorisations alternatives, y compris pour les poids lourds, passe par la propulsion électrique et donc par les batteries.

Désormais, plus de 80 % des concepteurs de véhicules utilitaires lourds à propulsion alternative misent sur la batterie (selon Forbes). Les poids lourds électriques offrent de nombreux avantages par rapport aux camions diesel : des émissions de CO₂ nettement réduites sur l’ensemble de leur cycle de vie, une efficacité énergétique bien supérieure et un niveau sonore beaucoup plus bas. Ceci permet de désengorger le trafic en journée et de circuler discrètement la nuit. De plus, un nombre croissant de villes et de zones urbaines ont créé des zones environnementales accessibles également aux camions électriques.

Désormais, les camions électriques de 40 tonnes atteignent une autonomie de plus de 500 kilomètres (avec charge) et une charge utile de plus de 20 tonnes. La consommation dépend de la charge et de l'utilisation (par exemple, la consommation des camions de collecte de déchets est plus élevée que celle des véhicules de transport). En règle générale, on peut estimer que la consommation est de 150 kWh pour 100 km.

Le coup d'envoi pour le déploiement d'un réseau de recharge rapide en Europe a été donné. Les étapes d'expansion sont définies via le Règlement de l'Union européenne. Un avantage de la logistique électrique est également la recharge sur site, appelée « destination charging », c'est-à-dire la recharge directement au hub logistique. En Suisse, la mise en place d'un réseau national de recharge rapide pour les poids lourds électriques est en cours de planification.

Outre les poids lourds électriques, des machines de travail électriques, comme celles utilisées dans la construction et l'exploitation minière, sont également disponibles, bien que leur nombre et leur variété soient encore limités.

03

e-Bus

Aucun moyen de transport n’a un profil de conduite aussi prévisible qu’un bus de ligne. La prévisibilité des itinéraires, et donc de l'autonomie nécessaire, est parfaitement adaptée à la mobilité électrique. Les véhicules lourds fonctionnant aux énergies fossiles consomment énormément d’énergie et génèrent d’importantes émissions de gaz à effet de serre, qui se concentrent principalement dans les zones urbaines. C’est pourquoi les avantages d’une flotte de bus électrifiée sont particulièrement significatifs. Certes, les véhicules électriques lourds consomment également plus d’énergie que les véhicules légers, mais la part d’énergie récupérable (récupération d’énergie au freinage) augmente avec le poids.

Les émissions sont globalement indésirables, mais elles posent particulièrement problème dans les centres-villes. Cela renforce la volonté de soutenir financièrement les flottes de bus électrifiées. En Suisse, par exemple, les bus diesel bénéficient depuis des décennies d’une subvention indirecte grâce à l’exonération de la taxe sur les carburants fossiles. Les aides financières dédiées à la conversion des flottes permettent d’accélérer leur adoption sur le marché. En Europe, la directive "clean vehicles" impose des quotas minimums pour l’acquisition de bus à zéro émission, avec un objectif de 32,5 % dès 2026. La Chine, quant à elle, fait figure de précurseur : près de 500 000 bus électriques circulent déjà dans l’Empire du Milieu.

Les bus électriques sont équipés de pantographes permettant une recharge aussi bien aux arrêts qu’au dépôt. Lorsqu’ils utilisent des supercondensateurs ("supercaps") comme dispositifs de stockage d’énergie, de grandes quantités d’énergie peuvent être emmagasinées en un temps très court. Dans plusieurs villes, des bus électriques sont en service depuis quelques années. Avec l’augmentation de la capacité des batteries, de la vitesse de recharge et du nombre de stations de charge, les véhicules de transport de personnes à batterie gagnent en autonomie. C’est pourquoi le nombre de bus électriques urbains, mais aussi d’autocars électriques, ne cesse de croître.

03

e-Bus

Aucun moyen de transport n’a un profil de conduite aussi prévisible qu’un bus de ligne. La prévisibilité des itinéraires, et donc de l'autonomie nécessaire, est parfaitement adaptée à la mobilité électrique. Les véhicules lourds fonctionnant aux énergies fossiles consomment énormément d’énergie et génèrent d’importantes émissions de gaz à effet de serre, qui se concentrent principalement dans les zones urbaines. C’est pourquoi les avantages d’une flotte de bus électrifiée sont particulièrement significatifs. Certes, les véhicules électriques lourds consomment également plus d’énergie que les véhicules légers, mais la part d’énergie récupérable (récupération d’énergie au freinage) augmente avec le poids.

Les émissions sont globalement indésirables, mais elles posent particulièrement problème dans les centres-villes. Cela renforce la volonté de soutenir financièrement les flottes de bus électrifiées. En Suisse, par exemple, les bus diesel bénéficient depuis des décennies d’une subvention indirecte grâce à l’exonération de la taxe sur les carburants fossiles. Les aides financières dédiées à la conversion des flottes permettent d’accélérer leur adoption sur le marché. En Europe, la directive "clean vehicles" impose des quotas minimums pour l’acquisition de bus à zéro émission, avec un objectif de 32,5 % dès 2026. La Chine, quant à elle, fait figure de précurseur : près de 500 000 bus électriques circulent déjà dans l’Empire du Milieu.

Les bus électriques sont équipés de pantographes permettant une recharge aussi bien aux arrêts qu’au dépôt. Lorsqu’ils utilisent des supercondensateurs ("supercaps") comme dispositifs de stockage d’énergie, de grandes quantités d’énergie peuvent être emmagasinées en un temps très court. Dans plusieurs villes, des bus électriques sont en service depuis quelques années. Avec l’augmentation de la capacité des batteries, de la vitesse de recharge et du nombre de stations de charge, les véhicules de transport de personnes à batterie gagnent en autonomie. C’est pourquoi le nombre de bus électriques urbains, mais aussi d’autocars électriques, ne cesse de croître.

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e-Bus

Aucun moyen de transport n’a un profil de conduite aussi prévisible qu’un bus de ligne. La prévisibilité des itinéraires, et donc de l'autonomie nécessaire, est parfaitement adaptée à la mobilité électrique. Les véhicules lourds fonctionnant aux énergies fossiles consomment énormément d’énergie et génèrent d’importantes émissions de gaz à effet de serre, qui se concentrent principalement dans les zones urbaines. C’est pourquoi les avantages d’une flotte de bus électrifiée sont particulièrement significatifs. Certes, les véhicules électriques lourds consomment également plus d’énergie que les véhicules légers, mais la part d’énergie récupérable (récupération d’énergie au freinage) augmente avec le poids.

Les émissions sont globalement indésirables, mais elles posent particulièrement problème dans les centres-villes. Cela renforce la volonté de soutenir financièrement les flottes de bus électrifiées. En Suisse, par exemple, les bus diesel bénéficient depuis des décennies d’une subvention indirecte grâce à l’exonération de la taxe sur les carburants fossiles. Les aides financières dédiées à la conversion des flottes permettent d’accélérer leur adoption sur le marché. En Europe, la directive "clean vehicles" impose des quotas minimums pour l’acquisition de bus à zéro émission, avec un objectif de 32,5 % dès 2026. La Chine, quant à elle, fait figure de précurseur : près de 500 000 bus électriques circulent déjà dans l’Empire du Milieu.

Les bus électriques sont équipés de pantographes permettant une recharge aussi bien aux arrêts qu’au dépôt. Lorsqu’ils utilisent des supercondensateurs ("supercaps") comme dispositifs de stockage d’énergie, de grandes quantités d’énergie peuvent être emmagasinées en un temps très court. Dans plusieurs villes, des bus électriques sont en service depuis quelques années. Avec l’augmentation de la capacité des batteries, de la vitesse de recharge et du nombre de stations de charge, les véhicules de transport de personnes à batterie gagnent en autonomie. C’est pourquoi le nombre de bus électriques urbains, mais aussi d’autocars électriques, ne cesse de croître.

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e-Bus

Aucun moyen de transport n’a un profil de conduite aussi prévisible qu’un bus de ligne. La prévisibilité des itinéraires, et donc de l'autonomie nécessaire, est parfaitement adaptée à la mobilité électrique. Les véhicules lourds fonctionnant aux énergies fossiles consomment énormément d’énergie et génèrent d’importantes émissions de gaz à effet de serre, qui se concentrent principalement dans les zones urbaines. C’est pourquoi les avantages d’une flotte de bus électrifiée sont particulièrement significatifs. Certes, les véhicules électriques lourds consomment également plus d’énergie que les véhicules légers, mais la part d’énergie récupérable (récupération d’énergie au freinage) augmente avec le poids.

Les émissions sont globalement indésirables, mais elles posent particulièrement problème dans les centres-villes. Cela renforce la volonté de soutenir financièrement les flottes de bus électrifiées. En Suisse, par exemple, les bus diesel bénéficient depuis des décennies d’une subvention indirecte grâce à l’exonération de la taxe sur les carburants fossiles. Les aides financières dédiées à la conversion des flottes permettent d’accélérer leur adoption sur le marché. En Europe, la directive "clean vehicles" impose des quotas minimums pour l’acquisition de bus à zéro émission, avec un objectif de 32,5 % dès 2026. La Chine, quant à elle, fait figure de précurseur : près de 500 000 bus électriques circulent déjà dans l’Empire du Milieu.

Les bus électriques sont équipés de pantographes permettant une recharge aussi bien aux arrêts qu’au dépôt. Lorsqu’ils utilisent des supercondensateurs ("supercaps") comme dispositifs de stockage d’énergie, de grandes quantités d’énergie peuvent être emmagasinées en un temps très court. Dans plusieurs villes, des bus électriques sont en service depuis quelques années. Avec l’augmentation de la capacité des batteries, de la vitesse de recharge et du nombre de stations de charge, les véhicules de transport de personnes à batterie gagnent en autonomie. C’est pourquoi le nombre de bus électriques urbains, mais aussi d’autocars électriques, ne cesse de croître.

04

Bateau électrique

La nécessité d’électrifier le transport maritime en chiffres : un paquebot de croisière émet chaque jour autant de CO₂ que 84 000 voitures (fossiles), autant de oxydes d’azote que 421 000 voitures, autant de particules fines que plus d’un million de voitures, et autant de dioxyde de soufre que 376 millions de voitures. Environ 80 % des marchandises mondiales sont transportées par voie maritime. La consommation mondiale de pétrole pour les 90 000 paquebots, porte-conteneurs, cargos et pétroliers est estimée à 370 millions de tonnes. Si l’électrification des plus grands navires devenait une réalité, la réduction des émissions polluantes serait colossale.

bateau électrique

Comme pour tous les moyens de transport électriques, plus le véhicule est lourd, plus son électrification est complexe. C’est pourquoi la transition vers la mobilité électrique maritime a commencé avec de petits bateaux, avant de s’étendre progressivement aux navires plus grands. Aujourd’hui, bien que leur part de marché reste encore très faible, les ferries et les navires de transport de passagers de taille moyenne pour la navigation maritime sont déjà partiellement électrifiés. En termes de taille et de poids, la Chine est à nouveau en tête du classement : le plus grand porte-conteneurs électrique mesure 120 mètres de long, pèse 10 000 tonnes et navigue principalement sur le Yangtsé.

En Suisse, des bateaux électriques sont utilisés sur différents lacs. Sur le lac de Zurich, par exemple, trois cotres électriques sont actuellement en service : le Fluvius, le Navalis et le Pontus.

04

Bateau électrique

La nécessité d’électrifier le transport maritime en chiffres : un paquebot de croisière émet chaque jour autant de CO₂ que 84 000 voitures (fossiles), autant de oxydes d’azote que 421 000 voitures, autant de particules fines que plus d’un million de voitures, et autant de dioxyde de soufre que 376 millions de voitures. Environ 80 % des marchandises mondiales sont transportées par voie maritime. La consommation mondiale de pétrole pour les 90 000 paquebots, porte-conteneurs, cargos et pétroliers est estimée à 370 millions de tonnes. Si l’électrification des plus grands navires devenait une réalité, la réduction des émissions polluantes serait colossale.

bateau électrique

Comme pour tous les moyens de transport électriques, plus le véhicule est lourd, plus son électrification est complexe. C’est pourquoi la transition vers la mobilité électrique maritime a commencé avec de petits bateaux, avant de s’étendre progressivement aux navires plus grands. Aujourd’hui, bien que leur part de marché reste encore très faible, les ferries et les navires de transport de passagers de taille moyenne pour la navigation maritime sont déjà partiellement électrifiés. En termes de taille et de poids, la Chine est à nouveau en tête du classement : le plus grand porte-conteneurs électrique mesure 120 mètres de long, pèse 10 000 tonnes et navigue principalement sur le Yangtsé.

En Suisse, des bateaux électriques sont utilisés sur différents lacs. Sur le lac de Zurich, par exemple, trois cotres électriques sont actuellement en service : le Fluvius, le Navalis et le Pontus.

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Bateau électrique

La nécessité d’électrifier le transport maritime en chiffres : un paquebot de croisière émet chaque jour autant de CO₂ que 84 000 voitures (fossiles), autant de oxydes d’azote que 421 000 voitures, autant de particules fines que plus d’un million de voitures, et autant de dioxyde de soufre que 376 millions de voitures. Environ 80 % des marchandises mondiales sont transportées par voie maritime. La consommation mondiale de pétrole pour les 90 000 paquebots, porte-conteneurs, cargos et pétroliers est estimée à 370 millions de tonnes. Si l’électrification des plus grands navires devenait une réalité, la réduction des émissions polluantes serait colossale.

bateau électrique

Comme pour tous les moyens de transport électriques, plus le véhicule est lourd, plus son électrification est complexe. C’est pourquoi la transition vers la mobilité électrique maritime a commencé avec de petits bateaux, avant de s’étendre progressivement aux navires plus grands. Aujourd’hui, bien que leur part de marché reste encore très faible, les ferries et les navires de transport de passagers de taille moyenne pour la navigation maritime sont déjà partiellement électrifiés. En termes de taille et de poids, la Chine est à nouveau en tête du classement : le plus grand porte-conteneurs électrique mesure 120 mètres de long, pèse 10 000 tonnes et navigue principalement sur le Yangtsé.

En Suisse, des bateaux électriques sont utilisés sur différents lacs. Sur le lac de Zurich, par exemple, trois cotres électriques sont actuellement en service : le Fluvius, le Navalis et le Pontus.

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Bateau électrique

La nécessité d’électrifier le transport maritime en chiffres : un paquebot de croisière émet chaque jour autant de CO₂ que 84 000 voitures (fossiles), autant de oxydes d’azote que 421 000 voitures, autant de particules fines que plus d’un million de voitures, et autant de dioxyde de soufre que 376 millions de voitures. Environ 80 % des marchandises mondiales sont transportées par voie maritime. La consommation mondiale de pétrole pour les 90 000 paquebots, porte-conteneurs, cargos et pétroliers est estimée à 370 millions de tonnes. Si l’électrification des plus grands navires devenait une réalité, la réduction des émissions polluantes serait colossale.

bateau électrique

Comme pour tous les moyens de transport électriques, plus le véhicule est lourd, plus son électrification est complexe. C’est pourquoi la transition vers la mobilité électrique maritime a commencé avec de petits bateaux, avant de s’étendre progressivement aux navires plus grands. Aujourd’hui, bien que leur part de marché reste encore très faible, les ferries et les navires de transport de passagers de taille moyenne pour la navigation maritime sont déjà partiellement électrifiés. En termes de taille et de poids, la Chine est à nouveau en tête du classement : le plus grand porte-conteneurs électrique mesure 120 mètres de long, pèse 10 000 tonnes et navigue principalement sur le Yangtsé.

En Suisse, des bateaux électriques sont utilisés sur différents lacs. Sur le lac de Zurich, par exemple, trois cotres électriques sont actuellement en service : le Fluvius, le Navalis et le Pontus.

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Light electric vehicle (LEV)

Les véhicules électriques légers (LEV - light electric vehicles) englobent une large gamme de moyens de transport, allant des trottinettes électriques aux vélos-cargos électriques, en passant par les vélos-triporteurs électriques et les véhicules électriques légers à trois ou quatre roues. Selon leur catégorie, les LEV sont généralement limités à des vitesses réduites. Dans l'UE, les LEV sont classés de L1e à L7e, avec des différences en termes de dimensions, poids, puissance motrice et vitesse maximale autorisée. Les véhicules communaux et municipaux font également partie des LEV. Ce terme désigne des petits véhicules utilitaires spécialisés, tels que les tondeuses autoportées, fraises à neige ou balayeuses.

Parmi les véhicules électriques légers les plus connus, on retrouve le Renault Twizy et, du point de vue suisse, le Microlino. Ces petites voitures électriques urbaines sont légères, se déplacent souvent à faible vitesse, ce qui les rend particulièrement efficaces sur le plan énergétique. Elles constituent ainsi une contre-tendance importante par rapport aux voitures toujours plus grandes et plus lourdes. Grâce à l’électrification, un autre LEV s’est imposé dans le paysage urbain : le vélo-cargo. Aux Pays-Bas, il est encore majoritairement propulsé par la seule force humaine, mais en Suisse, en raison du relief préalpin, les vélos-cargo nécessitent souvent une assistance électrique pour faciliter leur utilisation.

05

Light electric vehicle (LEV)

Les véhicules électriques légers (LEV - light electric vehicles) englobent une large gamme de moyens de transport, allant des trottinettes électriques aux vélos-cargos électriques, en passant par les vélos-triporteurs électriques et les véhicules électriques légers à trois ou quatre roues. Selon leur catégorie, les LEV sont généralement limités à des vitesses réduites. Dans l'UE, les LEV sont classés de L1e à L7e, avec des différences en termes de dimensions, poids, puissance motrice et vitesse maximale autorisée. Les véhicules communaux et municipaux font également partie des LEV. Ce terme désigne des petits véhicules utilitaires spécialisés, tels que les tondeuses autoportées, fraises à neige ou balayeuses.

Parmi les véhicules électriques légers les plus connus, on retrouve le Renault Twizy et, du point de vue suisse, le Microlino. Ces petites voitures électriques urbaines sont légères, se déplacent souvent à faible vitesse, ce qui les rend particulièrement efficaces sur le plan énergétique. Elles constituent ainsi une contre-tendance importante par rapport aux voitures toujours plus grandes et plus lourdes. Grâce à l’électrification, un autre LEV s’est imposé dans le paysage urbain : le vélo-cargo. Aux Pays-Bas, il est encore majoritairement propulsé par la seule force humaine, mais en Suisse, en raison du relief préalpin, les vélos-cargo nécessitent souvent une assistance électrique pour faciliter leur utilisation.

05

Light electric vehicle (LEV)

Les véhicules électriques légers (LEV - light electric vehicles) englobent une large gamme de moyens de transport, allant des trottinettes électriques aux vélos-cargos électriques, en passant par les vélos-triporteurs électriques et les véhicules électriques légers à trois ou quatre roues. Selon leur catégorie, les LEV sont généralement limités à des vitesses réduites. Dans l'UE, les LEV sont classés de L1e à L7e, avec des différences en termes de dimensions, poids, puissance motrice et vitesse maximale autorisée. Les véhicules communaux et municipaux font également partie des LEV. Ce terme désigne des petits véhicules utilitaires spécialisés, tels que les tondeuses autoportées, fraises à neige ou balayeuses.

Parmi les véhicules électriques légers les plus connus, on retrouve le Renault Twizy et, du point de vue suisse, le Microlino. Ces petites voitures électriques urbaines sont légères, se déplacent souvent à faible vitesse, ce qui les rend particulièrement efficaces sur le plan énergétique. Elles constituent ainsi une contre-tendance importante par rapport aux voitures toujours plus grandes et plus lourdes. Grâce à l’électrification, un autre LEV s’est imposé dans le paysage urbain : le vélo-cargo. Aux Pays-Bas, il est encore majoritairement propulsé par la seule force humaine, mais en Suisse, en raison du relief préalpin, les vélos-cargo nécessitent souvent une assistance électrique pour faciliter leur utilisation.

05

Light electric vehicle (LEV)

Les véhicules électriques légers (LEV - light electric vehicles) englobent une large gamme de moyens de transport, allant des trottinettes électriques aux vélos-cargos électriques, en passant par les vélos-triporteurs électriques et les véhicules électriques légers à trois ou quatre roues. Selon leur catégorie, les LEV sont généralement limités à des vitesses réduites. Dans l'UE, les LEV sont classés de L1e à L7e, avec des différences en termes de dimensions, poids, puissance motrice et vitesse maximale autorisée. Les véhicules communaux et municipaux font également partie des LEV. Ce terme désigne des petits véhicules utilitaires spécialisés, tels que les tondeuses autoportées, fraises à neige ou balayeuses.

Parmi les véhicules électriques légers les plus connus, on retrouve le Renault Twizy et, du point de vue suisse, le Microlino. Ces petites voitures électriques urbaines sont légères, se déplacent souvent à faible vitesse, ce qui les rend particulièrement efficaces sur le plan énergétique. Elles constituent ainsi une contre-tendance importante par rapport aux voitures toujours plus grandes et plus lourdes. Grâce à l’électrification, un autre LEV s’est imposé dans le paysage urbain : le vélo-cargo. Aux Pays-Bas, il est encore majoritairement propulsé par la seule force humaine, mais en Suisse, en raison du relief préalpin, les vélos-cargo nécessitent souvent une assistance électrique pour faciliter leur utilisation.

06

Vélo électrique

La Suisse est un pays de vélos électriques. Des vélos pliables, urbains, à cargaison, de montagne et même des Fatbikes, il existe toutes sortes de vélos ici, y compris dans leur version électrifiée. En gros, on fait la distinction entre la variante lente (assistance au pédalage jusqu'à 25 km/h) et la variante rapide (assistance au pédalage jusqu'à 45 km/h).

Les travailleurs des agglomérations urbaines savent : aucun autre moyen de transport n'est aussi rapide pour se rendre au travail (et bien sûr, revenir à la maison) que le vélo électrique. Ce que beaucoup ne savent pas : les jeunes ne peuvent conduire un vélo électrique qu'à partir de 14 ans, mais ils ont besoin d'un permis de conduire de catégorie M (motos). À partir de 16 ans, il n'est plus nécessaire pour la version lente. Pour les vélos électriques rapides, tout le monde a besoin d'un permis de conduire (au moins de catégorie M), d'une plaque d'immatriculation et d'un autocollant pour vélo électrique. Les modèles avec de grands moteurs (à partir de 1000 watts) appartiennent d'ailleurs à la catégorie "motos".

Au cours des deux dernières décennies, le boom du vélo électrique a connu une forte augmentation. En 2006, la part de marché était de 1 %. Aujourd'hui, plus de 40 % des nouveaux vélos sont des vélos électriques. Environ 15 % des Suisses ont un vélo électrique dans leur garage ou dans leur local à vélos. La Suisse n'est pas seulement un pays d'utilisateurs, mais aussi un pays de fabricants. Les marques helvétiques Stromer, Flyer, IBEX, Simplon ou Thömus sont renommées et reconnues à l'international.

06

Vélo électrique

La Suisse est un pays de vélos électriques. Des vélos pliables, urbains, à cargaison, de montagne et même des Fatbikes, il existe toutes sortes de vélos ici, y compris dans leur version électrifiée. En gros, on fait la distinction entre la variante lente (assistance au pédalage jusqu'à 25 km/h) et la variante rapide (assistance au pédalage jusqu'à 45 km/h).

Les travailleurs des agglomérations urbaines savent : aucun autre moyen de transport n'est aussi rapide pour se rendre au travail (et bien sûr, revenir à la maison) que le vélo électrique. Ce que beaucoup ne savent pas : les jeunes ne peuvent conduire un vélo électrique qu'à partir de 14 ans, mais ils ont besoin d'un permis de conduire de catégorie M (motos). À partir de 16 ans, il n'est plus nécessaire pour la version lente. Pour les vélos électriques rapides, tout le monde a besoin d'un permis de conduire (au moins de catégorie M), d'une plaque d'immatriculation et d'un autocollant pour vélo électrique. Les modèles avec de grands moteurs (à partir de 1000 watts) appartiennent d'ailleurs à la catégorie "motos".

Au cours des deux dernières décennies, le boom du vélo électrique a connu une forte augmentation. En 2006, la part de marché était de 1 %. Aujourd'hui, plus de 40 % des nouveaux vélos sont des vélos électriques. Environ 15 % des Suisses ont un vélo électrique dans leur garage ou dans leur local à vélos. La Suisse n'est pas seulement un pays d'utilisateurs, mais aussi un pays de fabricants. Les marques helvétiques Stromer, Flyer, IBEX, Simplon ou Thömus sont renommées et reconnues à l'international.

06

Vélo électrique

La Suisse est un pays de vélos électriques. Des vélos pliables, urbains, à cargaison, de montagne et même des Fatbikes, il existe toutes sortes de vélos ici, y compris dans leur version électrifiée. En gros, on fait la distinction entre la variante lente (assistance au pédalage jusqu'à 25 km/h) et la variante rapide (assistance au pédalage jusqu'à 45 km/h).

Les travailleurs des agglomérations urbaines savent : aucun autre moyen de transport n'est aussi rapide pour se rendre au travail (et bien sûr, revenir à la maison) que le vélo électrique. Ce que beaucoup ne savent pas : les jeunes ne peuvent conduire un vélo électrique qu'à partir de 14 ans, mais ils ont besoin d'un permis de conduire de catégorie M (motos). À partir de 16 ans, il n'est plus nécessaire pour la version lente. Pour les vélos électriques rapides, tout le monde a besoin d'un permis de conduire (au moins de catégorie M), d'une plaque d'immatriculation et d'un autocollant pour vélo électrique. Les modèles avec de grands moteurs (à partir de 1000 watts) appartiennent d'ailleurs à la catégorie "motos".

Au cours des deux dernières décennies, le boom du vélo électrique a connu une forte augmentation. En 2006, la part de marché était de 1 %. Aujourd'hui, plus de 40 % des nouveaux vélos sont des vélos électriques. Environ 15 % des Suisses ont un vélo électrique dans leur garage ou dans leur local à vélos. La Suisse n'est pas seulement un pays d'utilisateurs, mais aussi un pays de fabricants. Les marques helvétiques Stromer, Flyer, IBEX, Simplon ou Thömus sont renommées et reconnues à l'international.

06

Vélo électrique

La Suisse est un pays de vélos électriques. Des vélos pliables, urbains, à cargaison, de montagne et même des Fatbikes, il existe toutes sortes de vélos ici, y compris dans leur version électrifiée. En gros, on fait la distinction entre la variante lente (assistance au pédalage jusqu'à 25 km/h) et la variante rapide (assistance au pédalage jusqu'à 45 km/h).

Les travailleurs des agglomérations urbaines savent : aucun autre moyen de transport n'est aussi rapide pour se rendre au travail (et bien sûr, revenir à la maison) que le vélo électrique. Ce que beaucoup ne savent pas : les jeunes ne peuvent conduire un vélo électrique qu'à partir de 14 ans, mais ils ont besoin d'un permis de conduire de catégorie M (motos). À partir de 16 ans, il n'est plus nécessaire pour la version lente. Pour les vélos électriques rapides, tout le monde a besoin d'un permis de conduire (au moins de catégorie M), d'une plaque d'immatriculation et d'un autocollant pour vélo électrique. Les modèles avec de grands moteurs (à partir de 1000 watts) appartiennent d'ailleurs à la catégorie "motos".

Au cours des deux dernières décennies, le boom du vélo électrique a connu une forte augmentation. En 2006, la part de marché était de 1 %. Aujourd'hui, plus de 40 % des nouveaux vélos sont des vélos électriques. Environ 15 % des Suisses ont un vélo électrique dans leur garage ou dans leur local à vélos. La Suisse n'est pas seulement un pays d'utilisateurs, mais aussi un pays de fabricants. Les marques helvétiques Stromer, Flyer, IBEX, Simplon ou Thömus sont renommées et reconnues à l'international.

07

Moto et scooter électriques

Les motos électriques offrent une conduite silencieuse et sans vibrations, et procurent ainsi de nouvelles sensations de conduite. Toutefois, peu de motards s'y retrouvent pour le moment, et la part de marché des motos électriques reste faible, se situant dans les bas pourcentages à un chiffre.

Cela pourrait être lié au fait qu'une part importante des kilomètres parcourus en moto est attribuée aux loisirs, où les vibrations et le bruit des moteurs jouent traditionnellement un rôle important. De plus, les sorties à moto couvrent souvent de longues distances, et le manque de bornes de recharge rapide disponibles représente un défi supplémentaire. Les coûts totaux et la faible maintenance des motos électriques semblent être dans ce cas des facteurs moins déterminants.

Fondamentalement, rien ne s'oppose à la pénétration du marché des motos électriques. La gamme de produits ne cesse de s'élargir, et des modèles électriques sont disponibles jusqu'aux superbikes. Même le fabricant traditionnel Harley-Davidson propose des motos électriques. Les motos Johammer pourraient bien devenir des classiques, avec leur unité de propulsion entièrement intégrée dans la roue arrière, sans entretien, et leur design extravagant. Les motos électriques offrent un rendement énergétique extrêmement élevé, allant de 90 à 95 %.

La situation est différente pour les scooters électriques. Le scooter typique, rendu célèbre dans les années 50 avec la Vespa, possède un passage libre entre le volant et la selle. Ce moyen de transport est principalement utilisés pour de courtes distances, souvent en milieu urbain. Le scooter est donc parfaitement adapté à la mobilité électrique. Les scooters électriques offrent généralement une autonomie de 40 à 100 km par recharge complète et connaissent une popularité croissante, notamment auprès d’une clientèle jeune. Leur développement est largement favorisé par l’introduction de zones à faibles émissions dans plusieurs grandes villes européennes, qui restreignent de plus en plus l’utilisation des véhicules thermiques bruyants et polluants. Actuellement, le prix de vente est supérieur d'environ 20% à celui d'un scooter à moteur thermique.

07

Moto et scooter électriques

Les motos électriques offrent une conduite silencieuse et sans vibrations, et procurent ainsi de nouvelles sensations de conduite. Toutefois, peu de motards s'y retrouvent pour le moment, et la part de marché des motos électriques reste faible, se situant dans les bas pourcentages à un chiffre.

Cela pourrait être lié au fait qu'une part importante des kilomètres parcourus en moto est attribuée aux loisirs, où les vibrations et le bruit des moteurs jouent traditionnellement un rôle important. De plus, les sorties à moto couvrent souvent de longues distances, et le manque de bornes de recharge rapide disponibles représente un défi supplémentaire. Les coûts totaux et la faible maintenance des motos électriques semblent être dans ce cas des facteurs moins déterminants.

Fondamentalement, rien ne s'oppose à la pénétration du marché des motos électriques. La gamme de produits ne cesse de s'élargir, et des modèles électriques sont disponibles jusqu'aux superbikes. Même le fabricant traditionnel Harley-Davidson propose des motos électriques. Les motos Johammer pourraient bien devenir des classiques, avec leur unité de propulsion entièrement intégrée dans la roue arrière, sans entretien, et leur design extravagant. Les motos électriques offrent un rendement énergétique extrêmement élevé, allant de 90 à 95 %.

La situation est différente pour les scooters électriques. Le scooter typique, rendu célèbre dans les années 50 avec la Vespa, possède un passage libre entre le volant et la selle. Ce moyen de transport est principalement utilisés pour de courtes distances, souvent en milieu urbain. Le scooter est donc parfaitement adapté à la mobilité électrique. Les scooters électriques offrent généralement une autonomie de 40 à 100 km par recharge complète et connaissent une popularité croissante, notamment auprès d’une clientèle jeune. Leur développement est largement favorisé par l’introduction de zones à faibles émissions dans plusieurs grandes villes européennes, qui restreignent de plus en plus l’utilisation des véhicules thermiques bruyants et polluants. Actuellement, le prix de vente est supérieur d'environ 20% à celui d'un scooter à moteur thermique.

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Moto et scooter électriques

Les motos électriques offrent une conduite silencieuse et sans vibrations, et procurent ainsi de nouvelles sensations de conduite. Toutefois, peu de motards s'y retrouvent pour le moment, et la part de marché des motos électriques reste faible, se situant dans les bas pourcentages à un chiffre.

Cela pourrait être lié au fait qu'une part importante des kilomètres parcourus en moto est attribuée aux loisirs, où les vibrations et le bruit des moteurs jouent traditionnellement un rôle important. De plus, les sorties à moto couvrent souvent de longues distances, et le manque de bornes de recharge rapide disponibles représente un défi supplémentaire. Les coûts totaux et la faible maintenance des motos électriques semblent être dans ce cas des facteurs moins déterminants.

Fondamentalement, rien ne s'oppose à la pénétration du marché des motos électriques. La gamme de produits ne cesse de s'élargir, et des modèles électriques sont disponibles jusqu'aux superbikes. Même le fabricant traditionnel Harley-Davidson propose des motos électriques. Les motos Johammer pourraient bien devenir des classiques, avec leur unité de propulsion entièrement intégrée dans la roue arrière, sans entretien, et leur design extravagant. Les motos électriques offrent un rendement énergétique extrêmement élevé, allant de 90 à 95 %.

La situation est différente pour les scooters électriques. Le scooter typique, rendu célèbre dans les années 50 avec la Vespa, possède un passage libre entre le volant et la selle. Ce moyen de transport est principalement utilisés pour de courtes distances, souvent en milieu urbain. Le scooter est donc parfaitement adapté à la mobilité électrique. Les scooters électriques offrent généralement une autonomie de 40 à 100 km par recharge complète et connaissent une popularité croissante, notamment auprès d’une clientèle jeune. Leur développement est largement favorisé par l’introduction de zones à faibles émissions dans plusieurs grandes villes européennes, qui restreignent de plus en plus l’utilisation des véhicules thermiques bruyants et polluants. Actuellement, le prix de vente est supérieur d'environ 20% à celui d'un scooter à moteur thermique.

07

Moto et scooter électriques

Les motos électriques offrent une conduite silencieuse et sans vibrations, et procurent ainsi de nouvelles sensations de conduite. Toutefois, peu de motards s'y retrouvent pour le moment, et la part de marché des motos électriques reste faible, se situant dans les bas pourcentages à un chiffre.

Cela pourrait être lié au fait qu'une part importante des kilomètres parcourus en moto est attribuée aux loisirs, où les vibrations et le bruit des moteurs jouent traditionnellement un rôle important. De plus, les sorties à moto couvrent souvent de longues distances, et le manque de bornes de recharge rapide disponibles représente un défi supplémentaire. Les coûts totaux et la faible maintenance des motos électriques semblent être dans ce cas des facteurs moins déterminants.

Fondamentalement, rien ne s'oppose à la pénétration du marché des motos électriques. La gamme de produits ne cesse de s'élargir, et des modèles électriques sont disponibles jusqu'aux superbikes. Même le fabricant traditionnel Harley-Davidson propose des motos électriques. Les motos Johammer pourraient bien devenir des classiques, avec leur unité de propulsion entièrement intégrée dans la roue arrière, sans entretien, et leur design extravagant. Les motos électriques offrent un rendement énergétique extrêmement élevé, allant de 90 à 95 %.

La situation est différente pour les scooters électriques. Le scooter typique, rendu célèbre dans les années 50 avec la Vespa, possède un passage libre entre le volant et la selle. Ce moyen de transport est principalement utilisés pour de courtes distances, souvent en milieu urbain. Le scooter est donc parfaitement adapté à la mobilité électrique. Les scooters électriques offrent généralement une autonomie de 40 à 100 km par recharge complète et connaissent une popularité croissante, notamment auprès d’une clientèle jeune. Leur développement est largement favorisé par l’introduction de zones à faibles émissions dans plusieurs grandes villes européennes, qui restreignent de plus en plus l’utilisation des véhicules thermiques bruyants et polluants. Actuellement, le prix de vente est supérieur d'environ 20% à celui d'un scooter à moteur thermique.

08

EAV électrique

EAV signifie « engins assimilés à des véhicules ». Comme son nom l'indique, il s'agit d'une catégorie de véhicules assez large, incluant les patins à roulettes, les rollers et même les draisiennes.

Grâce à l’assistance électrique, les monocycles (monowheels) et surtout les trottinettes sont devenus une alternative importante pour effectuer la dernière étape du trajet d'une personne et atteindre sa destination finale. Les trottinettes électriques prennent peu de place et sont très efficaces. C'est pourquoi elles sont désormais utilisées en libre-service dans presque toutes les grandes villes d’Europe (de l’Ouest).

Un défi bien connu de la mobilité électrique se manifeste également avec les EAV électriques. Ces véhicules électriques sont apparus après l’élaboration des réglementations et, bien sûr, après la répartition des zones de circulation. Alors que ce sont surtout les jeunes qui utilisent et apprécient le partage de trottinettes électriques en freefloating (pas de places de stationnement fixes), de nombreuses personnes, pour la plupart d'un certain âge (comme l'ont montré des études pilotes), sont encore gênées par ces moyens de transport qui traînent « partout ». Un autre obstacle à leur adoption concerne la question de l'espace de circulation qui devrait leur être attribué.

08

EAV électrique

EAV signifie « engins assimilés à des véhicules ». Comme son nom l'indique, il s'agit d'une catégorie de véhicules assez large, incluant les patins à roulettes, les rollers et même les draisiennes.

Grâce à l’assistance électrique, les monocycles (monowheels) et surtout les trottinettes sont devenus une alternative importante pour effectuer la dernière étape du trajet d'une personne et atteindre sa destination finale. Les trottinettes électriques prennent peu de place et sont très efficaces. C'est pourquoi elles sont désormais utilisées en libre-service dans presque toutes les grandes villes d’Europe (de l’Ouest).

Un défi bien connu de la mobilité électrique se manifeste également avec les EAV électriques. Ces véhicules électriques sont apparus après l’élaboration des réglementations et, bien sûr, après la répartition des zones de circulation. Alors que ce sont surtout les jeunes qui utilisent et apprécient le partage de trottinettes électriques en freefloating (pas de places de stationnement fixes), de nombreuses personnes, pour la plupart d'un certain âge (comme l'ont montré des études pilotes), sont encore gênées par ces moyens de transport qui traînent « partout ». Un autre obstacle à leur adoption concerne la question de l'espace de circulation qui devrait leur être attribué.

08

EAV électrique

EAV signifie « engins assimilés à des véhicules ». Comme son nom l'indique, il s'agit d'une catégorie de véhicules assez large, incluant les patins à roulettes, les rollers et même les draisiennes.

Grâce à l’assistance électrique, les monocycles (monowheels) et surtout les trottinettes sont devenus une alternative importante pour effectuer la dernière étape du trajet d'une personne et atteindre sa destination finale. Les trottinettes électriques prennent peu de place et sont très efficaces. C'est pourquoi elles sont désormais utilisées en libre-service dans presque toutes les grandes villes d’Europe (de l’Ouest).

Un défi bien connu de la mobilité électrique se manifeste également avec les EAV électriques. Ces véhicules électriques sont apparus après l’élaboration des réglementations et, bien sûr, après la répartition des zones de circulation. Alors que ce sont surtout les jeunes qui utilisent et apprécient le partage de trottinettes électriques en freefloating (pas de places de stationnement fixes), de nombreuses personnes, pour la plupart d'un certain âge (comme l'ont montré des études pilotes), sont encore gênées par ces moyens de transport qui traînent « partout ». Un autre obstacle à leur adoption concerne la question de l'espace de circulation qui devrait leur être attribué.

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EAV électrique

EAV signifie « engins assimilés à des véhicules ». Comme son nom l'indique, il s'agit d'une catégorie de véhicules assez large, incluant les patins à roulettes, les rollers et même les draisiennes.

Grâce à l’assistance électrique, les monocycles (monowheels) et surtout les trottinettes sont devenus une alternative importante pour effectuer la dernière étape du trajet d'une personne et atteindre sa destination finale. Les trottinettes électriques prennent peu de place et sont très efficaces. C'est pourquoi elles sont désormais utilisées en libre-service dans presque toutes les grandes villes d’Europe (de l’Ouest).

Un défi bien connu de la mobilité électrique se manifeste également avec les EAV électriques. Ces véhicules électriques sont apparus après l’élaboration des réglementations et, bien sûr, après la répartition des zones de circulation. Alors que ce sont surtout les jeunes qui utilisent et apprécient le partage de trottinettes électriques en freefloating (pas de places de stationnement fixes), de nombreuses personnes, pour la plupart d'un certain âge (comme l'ont montré des études pilotes), sont encore gênées par ces moyens de transport qui traînent « partout ». Un autre obstacle à leur adoption concerne la question de l'espace de circulation qui devrait leur être attribué.

09

VTOL électrique

Les VTOL électriques sont des aéronefs qui décollent et atterrissent à la verticale, sans piste de décollage et d'atterrissage. L’acronyme VTOL signifie « vertical take-off and landing » (décollage et atterrissage verticaux). Au sens strict, les hélicoptères appartiennent également à cette catégorie. Cependant, dans le contexte des véhicules électriques, le terme désigne principalement les drones. Il s'agit généralement d'un appareil volant télécommandé, souvent équipé d'une caméra, qui est désormais vendu en grand nombre dans notre pays.

Quelques chiffres impressionnants sur le boom des drones en Suisse : en 2024, le marché des drones en Suisse a atteint un chiffre d'affaires total de 425 millions de francs. 55 % des produits et services suisses sont exportés. La Suisse est le plus grand marché de drones par habitant au monde. En chiffres absolus, notre petit pays se classe au douzième rang mondial.

Au-delà de leur usage récréatif, les VTOL électriques sont appelés à jouer un rôle croissant dans les systèmes de transport. Jusqu’à présent, les drones sont principalement exploités à des fins commerciales, notamment dans la surveillance, le sauvetage et le secteur militaire. Cependant, leur compacité, leur flexibilité, leur coût relativement abordable et leur capacité à être déployés presque partout ouvrent la voie à de nouvelles applications. Grâce aux avancées technologiques dans le domaine des batteries – avec des coûts réduits, une densité énergétique accrue et des systèmes de gestion optimisés – l’émergence d’appareils plus grands, capables de transporter des charges plus lourdes, devient une réalité. Parmi les secteurs qui pourraient tirer parti de cette évolution figurent la logistique, avec le transport de marchandises sur de courtes distances, ainsi que le transport de passagers, avec l'essor potentiel des taxis aériens.

09

VTOL électrique

Les VTOL électriques sont des aéronefs qui décollent et atterrissent à la verticale, sans piste de décollage et d'atterrissage. L’acronyme VTOL signifie « vertical take-off and landing » (décollage et atterrissage verticaux). Au sens strict, les hélicoptères appartiennent également à cette catégorie. Cependant, dans le contexte des véhicules électriques, le terme désigne principalement les drones. Il s'agit généralement d'un appareil volant télécommandé, souvent équipé d'une caméra, qui est désormais vendu en grand nombre dans notre pays.

Quelques chiffres impressionnants sur le boom des drones en Suisse : en 2024, le marché des drones en Suisse a atteint un chiffre d'affaires total de 425 millions de francs. 55 % des produits et services suisses sont exportés. La Suisse est le plus grand marché de drones par habitant au monde. En chiffres absolus, notre petit pays se classe au douzième rang mondial.

Au-delà de leur usage récréatif, les VTOL électriques sont appelés à jouer un rôle croissant dans les systèmes de transport. Jusqu’à présent, les drones sont principalement exploités à des fins commerciales, notamment dans la surveillance, le sauvetage et le secteur militaire. Cependant, leur compacité, leur flexibilité, leur coût relativement abordable et leur capacité à être déployés presque partout ouvrent la voie à de nouvelles applications. Grâce aux avancées technologiques dans le domaine des batteries – avec des coûts réduits, une densité énergétique accrue et des systèmes de gestion optimisés – l’émergence d’appareils plus grands, capables de transporter des charges plus lourdes, devient une réalité. Parmi les secteurs qui pourraient tirer parti de cette évolution figurent la logistique, avec le transport de marchandises sur de courtes distances, ainsi que le transport de passagers, avec l'essor potentiel des taxis aériens.

09

VTOL électrique

Les VTOL électriques sont des aéronefs qui décollent et atterrissent à la verticale, sans piste de décollage et d'atterrissage. L’acronyme VTOL signifie « vertical take-off and landing » (décollage et atterrissage verticaux). Au sens strict, les hélicoptères appartiennent également à cette catégorie. Cependant, dans le contexte des véhicules électriques, le terme désigne principalement les drones. Il s'agit généralement d'un appareil volant télécommandé, souvent équipé d'une caméra, qui est désormais vendu en grand nombre dans notre pays.

Quelques chiffres impressionnants sur le boom des drones en Suisse : en 2024, le marché des drones en Suisse a atteint un chiffre d'affaires total de 425 millions de francs. 55 % des produits et services suisses sont exportés. La Suisse est le plus grand marché de drones par habitant au monde. En chiffres absolus, notre petit pays se classe au douzième rang mondial.

Au-delà de leur usage récréatif, les VTOL électriques sont appelés à jouer un rôle croissant dans les systèmes de transport. Jusqu’à présent, les drones sont principalement exploités à des fins commerciales, notamment dans la surveillance, le sauvetage et le secteur militaire. Cependant, leur compacité, leur flexibilité, leur coût relativement abordable et leur capacité à être déployés presque partout ouvrent la voie à de nouvelles applications. Grâce aux avancées technologiques dans le domaine des batteries – avec des coûts réduits, une densité énergétique accrue et des systèmes de gestion optimisés – l’émergence d’appareils plus grands, capables de transporter des charges plus lourdes, devient une réalité. Parmi les secteurs qui pourraient tirer parti de cette évolution figurent la logistique, avec le transport de marchandises sur de courtes distances, ainsi que le transport de passagers, avec l'essor potentiel des taxis aériens.

09

VTOL électrique

Les VTOL électriques sont des aéronefs qui décollent et atterrissent à la verticale, sans piste de décollage et d'atterrissage. L’acronyme VTOL signifie « vertical take-off and landing » (décollage et atterrissage verticaux). Au sens strict, les hélicoptères appartiennent également à cette catégorie. Cependant, dans le contexte des véhicules électriques, le terme désigne principalement les drones. Il s'agit généralement d'un appareil volant télécommandé, souvent équipé d'une caméra, qui est désormais vendu en grand nombre dans notre pays.

Quelques chiffres impressionnants sur le boom des drones en Suisse : en 2024, le marché des drones en Suisse a atteint un chiffre d'affaires total de 425 millions de francs. 55 % des produits et services suisses sont exportés. La Suisse est le plus grand marché de drones par habitant au monde. En chiffres absolus, notre petit pays se classe au douzième rang mondial.

Au-delà de leur usage récréatif, les VTOL électriques sont appelés à jouer un rôle croissant dans les systèmes de transport. Jusqu’à présent, les drones sont principalement exploités à des fins commerciales, notamment dans la surveillance, le sauvetage et le secteur militaire. Cependant, leur compacité, leur flexibilité, leur coût relativement abordable et leur capacité à être déployés presque partout ouvrent la voie à de nouvelles applications. Grâce aux avancées technologiques dans le domaine des batteries – avec des coûts réduits, une densité énergétique accrue et des systèmes de gestion optimisés – l’émergence d’appareils plus grands, capables de transporter des charges plus lourdes, devient une réalité. Parmi les secteurs qui pourraient tirer parti de cette évolution figurent la logistique, avec le transport de marchandises sur de courtes distances, ainsi que le transport de passagers, avec l'essor potentiel des taxis aériens.

Systèmes de mobilité

01

Smart mobility

Smart mobility désigne des approches et technologies innovantes visant à rendre le transport des personnes et des marchandises plus efficace, durable et connecté.

Il s'agit d'une composante intégrale de la planification urbaine moderne et du développement de la mobilité qui utilise des technologies numériques pour améliorer les systèmes de mobilité. Des formes de mobilité intelligentes, plus efficaces et durables reposent sur la propulsion électrique.

01

Smart mobility

Smart mobility désigne des approches et technologies innovantes visant à rendre le transport des personnes et des marchandises plus efficace, durable et connecté.

Il s'agit d'une composante intégrale de la planification urbaine moderne et du développement de la mobilité qui utilise des technologies numériques pour améliorer les systèmes de mobilité. Des formes de mobilité intelligentes, plus efficaces et durables reposent sur la propulsion électrique.

01

Smart mobility

Smart mobility désigne des approches et technologies innovantes visant à rendre le transport des personnes et des marchandises plus efficace, durable et connecté.

Il s'agit d'une composante intégrale de la planification urbaine moderne et du développement de la mobilité qui utilise des technologies numériques pour améliorer les systèmes de mobilité. Des formes de mobilité intelligentes, plus efficaces et durables reposent sur la propulsion électrique.

01

Smart mobility

Smart mobility désigne des approches et technologies innovantes visant à rendre le transport des personnes et des marchandises plus efficace, durable et connecté.

Il s'agit d'une composante intégrale de la planification urbaine moderne et du développement de la mobilité qui utilise des technologies numériques pour améliorer les systèmes de mobilité. Des formes de mobilité intelligentes, plus efficaces et durables reposent sur la propulsion électrique.

02

eCarsharing

L'eCarsharing offre une alternative flexible et écologique à la possession d'une voiture. Cette forme de mobilité offre également une excellente occasion de conduire une voiture électrique pour la première fois.

En tant que pionnier en Suisse, notre membre Mobility permet d'accéder facilement à plus de 3000 véhicules, dont de nombreuses voitures électriques. A l'avenir, Mobility va convertir l'ensemble de sa flotte de véhicules en voitures électriques. Avec l'eCarsharing, il est possible de réduire encore les émissions de CO₂ grâce à une utilisation efficace des ressources. En Suisse, plus d'un demi-million de mobilistes profite déjà les offres de carsharing.

02

eCarsharing

L'eCarsharing offre une alternative flexible et écologique à la possession d'une voiture. Cette forme de mobilité offre également une excellente occasion de conduire une voiture électrique pour la première fois.

En tant que pionnier en Suisse, notre membre Mobility permet d'accéder facilement à plus de 3000 véhicules, dont de nombreuses voitures électriques. A l'avenir, Mobility va convertir l'ensemble de sa flotte de véhicules en voitures électriques. Avec l'eCarsharing, il est possible de réduire encore les émissions de CO₂ grâce à une utilisation efficace des ressources. En Suisse, plus d'un demi-million de mobilistes profite déjà les offres de carsharing.

02

eCarsharing

L'eCarsharing offre une alternative flexible et écologique à la possession d'une voiture. Cette forme de mobilité offre également une excellente occasion de conduire une voiture électrique pour la première fois.

En tant que pionnier en Suisse, notre membre Mobility permet d'accéder facilement à plus de 3000 véhicules, dont de nombreuses voitures électriques. A l'avenir, Mobility va convertir l'ensemble de sa flotte de véhicules en voitures électriques. Avec l'eCarsharing, il est possible de réduire encore les émissions de CO₂ grâce à une utilisation efficace des ressources. En Suisse, plus d'un demi-million de mobilistes profite déjà les offres de carsharing.

02

eCarsharing

L'eCarsharing offre une alternative flexible et écologique à la possession d'une voiture. Cette forme de mobilité offre également une excellente occasion de conduire une voiture électrique pour la première fois.

En tant que pionnier en Suisse, notre membre Mobility permet d'accéder facilement à plus de 3000 véhicules, dont de nombreuses voitures électriques. A l'avenir, Mobility va convertir l'ensemble de sa flotte de véhicules en voitures électriques. Avec l'eCarsharing, il est possible de réduire encore les émissions de CO₂ grâce à une utilisation efficace des ressources. En Suisse, plus d'un demi-million de mobilistes profite déjà les offres de carsharing.

03

Conduite automatique

La conduite automatisée désigne l’automatisation progressive des fonctions des véhicules jusqu’à atteindre un fonctionnement entièrement autonome.

Il existe cinq niveaux d'automatisation : du niveau 1 (conduite assistée), où le conducteur est aidé par des systèmes comme le régulateur de vitesse, jusqu'au niveau 5 (conduite entièrement autonome), où le véhicule n'a plus besoin de conducteur.

Actuellement, la plupart des véhicules atteignent le niveau 2 (automatisation partielle), comme les régulateurs de vitesse adaptatifs et les assistants de maintien de voie. Les premiers systèmes de niveau 3 (automatisation à la demande), où le véhicule prend complètement le contrôle dans certaines situations, sont déjà autorisés dans certains pays.

Dans plusieurs villes, des taxis sans conducteur et autonomes sont déjà en circulation. Tous fonctionnent exclusivement à l'électricité.

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Conduite automatique

La conduite automatisée désigne l’automatisation progressive des fonctions des véhicules jusqu’à atteindre un fonctionnement entièrement autonome.

Il existe cinq niveaux d'automatisation : du niveau 1 (conduite assistée), où le conducteur est aidé par des systèmes comme le régulateur de vitesse, jusqu'au niveau 5 (conduite entièrement autonome), où le véhicule n'a plus besoin de conducteur.

Actuellement, la plupart des véhicules atteignent le niveau 2 (automatisation partielle), comme les régulateurs de vitesse adaptatifs et les assistants de maintien de voie. Les premiers systèmes de niveau 3 (automatisation à la demande), où le véhicule prend complètement le contrôle dans certaines situations, sont déjà autorisés dans certains pays.

Dans plusieurs villes, des taxis sans conducteur et autonomes sont déjà en circulation. Tous fonctionnent exclusivement à l'électricité.

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Conduite automatique

La conduite automatisée désigne l’automatisation progressive des fonctions des véhicules jusqu’à atteindre un fonctionnement entièrement autonome.

Il existe cinq niveaux d'automatisation : du niveau 1 (conduite assistée), où le conducteur est aidé par des systèmes comme le régulateur de vitesse, jusqu'au niveau 5 (conduite entièrement autonome), où le véhicule n'a plus besoin de conducteur.

Actuellement, la plupart des véhicules atteignent le niveau 2 (automatisation partielle), comme les régulateurs de vitesse adaptatifs et les assistants de maintien de voie. Les premiers systèmes de niveau 3 (automatisation à la demande), où le véhicule prend complètement le contrôle dans certaines situations, sont déjà autorisés dans certains pays.

Dans plusieurs villes, des taxis sans conducteur et autonomes sont déjà en circulation. Tous fonctionnent exclusivement à l'électricité.

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Conduite automatique

La conduite automatisée désigne l’automatisation progressive des fonctions des véhicules jusqu’à atteindre un fonctionnement entièrement autonome.

Il existe cinq niveaux d'automatisation : du niveau 1 (conduite assistée), où le conducteur est aidé par des systèmes comme le régulateur de vitesse, jusqu'au niveau 5 (conduite entièrement autonome), où le véhicule n'a plus besoin de conducteur.

Actuellement, la plupart des véhicules atteignent le niveau 2 (automatisation partielle), comme les régulateurs de vitesse adaptatifs et les assistants de maintien de voie. Les premiers systèmes de niveau 3 (automatisation à la demande), où le véhicule prend complètement le contrôle dans certaines situations, sont déjà autorisés dans certains pays.

Dans plusieurs villes, des taxis sans conducteur et autonomes sont déjà en circulation. Tous fonctionnent exclusivement à l'électricité.